Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

mardi 17 décembre 2013

Si Hollande avait été contemporain d'Hitler (ou réciproquement)




Si Hollande avait été contemporain d'Hitler, il se serait rendu à Munich, pour une rencontre au sommet avec le chancelier allemand. Et voici ce qui ce serait dit :

Hitler : Bonchour Franzois, enchanté de faire fotre konnaissance.
Hollande : Bonjour cher Adolf ! Tout le plaisir est pour moi. Ch'ui toujours ravi quand je rencontre les grands de ce monde. D'ailleurs, chez moi, on dit que je suis le ravi de la crèche. Sans doute parce que c'est bientôt Noël.

Hitler : Kan che fou ai fu ce matin déposer une cherbe au monument des victimes allemandes de la guerre 14/18...
Hollande : oui, d'ailleurs, on s'excuse encore, hein, pour toutes ces malheureuses victimes allemandes...

Hitler :...ch'ai tout de suite fu que fous étiez une ponne personne et kon allait bien s'entendre.
Hollande : ben oui, et puis entre socialistes, il n'y a pas de raison... Vous êtes juste plus national que moi, c'est tout ! Ah ah ah ah !

Hitler : Ben chustement, buisqu'on en barle. Ch'ai l'intention d'envahir la Franze, figurez-vous.
Hollande : ah oui ?

Hitler : Et ch'avais pensé qu'on pourrait s'épargner beaucoup de problèmes si fous laissiez chuste venir un maximum de mes compatriotes s'installer chez fous.
Hollande : mais c'est une excellente idée ! Après tout, la France n'est-elle pas le pays des Droits de l'Homme ? Et parmi ces droits, celui de venir profiter du fric et de la belle vie là où ils sont...

Hitler : Che zui ravi que vous le preniez comme ça. Nous allons ainsi nous éfiter de gros frais d'armement et une guerre toujours péniple.
Hollande : Eh bien ça tombe plutôt bien, parce que je suis précisément en train de réduire le budget des Armées, dites-donc !

Hitler : Alors natürlich, fous prévoyez de résserver vos lochements sociaux en priorité pour nos ressortissants allemands.
Hollande : Naturellement.

Hitler : Vous leur tonnerez aussi tout plein de supfentions, d'allocations en tous genres, pour leur faciliter la fie au maximum.
Hollande : Le mieux serait que nous favorisions la création d'associations, en les subventionnant, dont l'unique raison d'être serait précisément de faciliter la venue et l'installation de vos compatriotes chez nous.

Hitler : Wonderbar !
Hollande : … et ainsi faciliter leur intégration dans mon pays.

Hitler : Was ? Intékration ? Nein ! Ze n'est pas aux Allemands de s'intékrer, c'est aux Franzosen de s'adapter à la vie allemante. Et d'ailleurs, fous aurez soin d'imposer la choukroute et la saucisse de Francfort dans les cantines de fos écoles.

Hollande : C'est bon, ça, la choucroute et les saucisses. Moi, j'adore.

Hitler : Fous savez qu'en Allemagne, nous sommes plutôt de religion protestante. Il serait konvenable que fous favorisiez le protestantisme en France, et que vous abandonniez le catholicisme. On se comprend pien, n'est-ce pas ?
Hollande : bah, vous savez, moi, je ne crois en rien, alors, la religion, je m'en bats les paupières avec une pelle à gâteau !

Hitler : Ach, komme ça fous aurez même pas à vous renier sur koi que ce soit, wonderbar ! et puis fous penserez à mettre vos formulaires atministratifs en allemand. Mes compatriotes ne font kand même pas s'emmerter à apprendre le französich, n'est-ce-pas ?
Hollande : ça va de soi.

Hitler : Pendant k'on y est, faudrait penser à imposer la culotte de cuir à tous les petits karçons.
Hollande : ah bah, c'est solide, ça, les culottes de cuir.

Hitler : Che pense à kelke chose...
Hollande : oui, et à quoi donc, mon cher Adolf ?

Hitler : Il serait pon que fotre Presse soit très arrangeante, che veux tire, à propos de zette petite invazion. Il faudrait qu'elle collabore totalement avec ce prochet.
Hollande : Ah bah pour ça, vous n'avez vraiment pas à vous inquiéter, nous avons la Presse la plus collaborante qui soit..

Hitler : Ch'inziste ; si par exemple, des ressortissants allemands font des konneries, il zerait bon k'on ne disent pas k'ils sont allemands. Fous pourriez les identifier dans la Presse en les appelant des.. che ne sais pas, moi... euh, des Mohammed par exemple.
Hollande : Ça, c'est malin, je n'y aurais pas pensé.

Hitler : Pon ! Puisqu'on est d'accord sur l'ezzentiel, c'est parfait. On fa poufoir enfisager sérieusement de faire de votre pays une extension de la krande Allemagne. C'est une affaire de 20 à 30 ans, che pense.
Hollande : Peut-être moins, mon cher Adolf, vous pouvez compter sur moi. Euh, à propos, est-ce que, euh, en échange de ma collaboration, euh je veux dire de mes bons et loyaux services..., vous pourriez vous assurer que vos compatriotes, (qui sont, bien évidemment autant de chances pour la France), votent pour moi et les miens pour les quelques années qui nous restent avant d'intégrer votre merveilleuse société ? Parce que, vous comprenez, avant, c'était les ouvriers qui votaient pour nous. Mais comme on a foutu en l'air notre industrie avec l'aide de nos syndicats, il n'y a plus d'ouvrier. Et donc plus grand monde pour voter pour nous.

Hitler : Ach, mon petit Franzois, fous êtes une petite kanaille, hein ? Nein, plutôt une kolossale kanaille ! Allez, fous et les fôtres êtes dans l'Histoire, maintenant, hein ! Ach so, réussir à détruire en quelques années une nation qui a mis deux millénaires à se former, et cela sans même donner un coup de canon, c'est pas à la portée du premier fenu, n'est-ce pas ? Allez, che ne vous raccompagne pas, fous connaissez le chemin. Auf wiedersehen !

Hollande : Bon, c'est pas tout ça, mais il est où, l'avion ?


4 commentaires:

  1. De Hiteulère à léonarda... quelle déchéanche.
    Hollande aura été éconduit par l'histoire.

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  2. j'ai le grand plaisir de connaitre ce blog et je viens de rire "jaune" en lisant votre prose . J'espère que cela ne vous vaut pas de mails rageurs comme ceux que j'ai reçus suite à" mon moi je ne fais pas de politique "sur mon propre blog .
    condamnés à mort par ceux qui nous promettent de mieux nous faire vivre, il faut nous battre avec nos cannes anglaises , nos deambulateurs ..;nos tétines ou nos biberons ...nous n'avons plus le choix !
    amitiés
    josette

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    1. Bienvenue sur ce blog. Mais où peut-on trouver cet article "moi je ne fais pas..." Au plaisir de vous lire...

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    2. merci de ton accueil , mon blog est http://ducotedechezmamedjo.blog50.com/, tu devras remonter de quelques pages .
      j'écris moins bien que toi et surtout avec moins de réflexion et de profondeur ...et c'est souvent outré.
      amitiés
      josette

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