Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

jeudi 8 novembre 2012

L'Amérique se reprend les pieds dans le tapis d'un vote racial.



Obama a donc été réélu. Par qui ? Par 9 Noirs sur 10, et plus de 7 hispaniques sur 10. Il s'agit donc clairement d'un vote racial. Quant aux Blancs qui ont voté pour Obama, ils ont la naïveté de croire qu'ils ont voté pour un candidat démocrate, comme n'importe quel autre candidat démocrate. Ils n'ont pas conscience qu'ils viennent d'offrir à leurs minorités de couleur, la corde qui va leur permettre de les pendre.

Le bilan est le suivant : Obama a été élu et réélu, mathématiquement, non pas parce qu'il incarnait une politique économique ou une politique sociale donnée, mais simplement parce qu'il est noir ! La meilleure preuve est dans le constat que n'ont pas manqué de faire tous les observateurs, même si très peu ont osé en tirer la moralité: le bilan du premier mandat d'Obama est très médiocre. Jamais depuis Roosevelt, un président n'avait pu être réélu avec un taux de chômage aussi élevé que celui qu'Obama s'est laissé en héritage à lui-même. Il a néanmoins été préféré à un candidat, Mitt Romney, qui a démontré sa propre réussite personnelle de chef d'entreprise et à qui on aurait pu accorder le crédit qu'il pouvait appliquer sa recette de « success story » au pays tout entier.

On peut raisonnablement penser que ce bilan de premier mandat aurait même pu être bien pire, Obama aurait de toutes façons été réélu : simplement parce qu'il est noir et que son opposant est blanc. Voilà où en est l'Amérique d'aujourd'hui. Voilà où en est un pays qui a, petit à petit, lâché toujours un peu plus de lest dans sa politique d'immigration. Aujourd'hui, c'est en espagnol qu'une immigrée originaire d'Amérique centrale explique à la télévision américaine à quel point elle est contente du résultat de l'élection, conforme à son vote personnel ! Et l'avenir n'est pas plus rose : Il est clair que le parti Démocrate américain est désormais l'otage de ces minorités, tout comme les socialistes français (et les syndicats), le sont des électeurs arabes et noirs en France.

Cela étant, une fois admis qu'Obama doit sa réélection à sa couleur de peau, est-ce pour autant une mauvaise chose pour l'Amérique, et plus globalement pour l'Occident ?
L'ennui est qu'Obama est incompétent. Sympa, sûrement, mais incompétent. C'est un bateleur, qui vous tape dans le dos en vous disant une bonne blague, une sorte de bouffon joyeux. Ce n'est pas pour rien qu'il a la faveur de beaucoup de personnalités du show business, ces troubadours et autres saltimbanques des temps modernes, qui le reconnaissent comme un des leurs. Le problème est que pour gouverner un pays, cela requiert d'autres qualités que de savoir jouer la comédie et d'être un bon « entertainer ». Car les lois économiques sont peu sensibles au « paraître ».

Circonstance aggravante, sur le plan économique, Obama, en tant que Démocrate, cède aux sirènes de nature socialiste, c'est-à-dire, plus de pouvoir pour l'Etat, plus de dépenses, donc plus d'impôts (la dette de l'Etat est monstrueuse), donc moins de dynamisme économique, et plus de chômage. Et ce chômage est en train de changer de nature : il ne s'agit plus du chômage de type économique libéral, c'est-à-dire, de courte durée, gage d'une bonne flexibilité et traduisant une bonne mobilité des forces de travail, mais d'un chômage de longue durée, épidémique et d'exclusion, de type européen socialiste. Bref, l'Amérique est foutue.

Cette réélection d'Obama n'est jamais qu'un nouveau symptôme du déclin occidental inexorable, qui ne peut profiter qu'aux futurs nouveaux dominants du monde : les puissances asiatiques. Celles-ci ne s'y sont d'ailleurs pas trompées, en saluant la nouvelle de cette réélection avec une hausse de la Bourse en Asie.

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