On pouvait légitimement
espérer que la trêve estivale allait aussi être une trêve dans le
travail de sape que Hollande Ouille et sa clique ont entrepris dans
la destruction systématique du pays. Eh bien, cette trêve se fait
attendre.
Du temps de sa
candidature à la présidence, et à entendre énoncer le programme
économique hallucinant de Flanby, les plus optimistes se disaient :
« bon, il n'est pas encore aux affaires, peut-être que son
long séjour dans l'opposition sans aucune responsabilité réelle
d'aucune sorte l'a privé d'information sur l'état du pays et sur la
conjoncture mondiale. Une fois élu, il s'informera et prendra la
mesure de l'anachronisme de son programme et s'adaptera. » Pas
de chance, voilà déjà plus de trois mois qu'il est aux affaires,
et on constate qu'il n'a rien compris.
Et c'est d'un simple
trait de plume qu'il vient de rayer 99.5% de la dette de la Côte
d'Ivoire, soit plus de 3 milliards d'euros ! Le président
ivoirien, Ouattara, en visite officielle chez Flanby, le remercie. Il
peut ! Le président ki-voit-rien, Hollande, se croit permis de
plaisanter : « merci de n'avoir pas oublié les 0.5% de la
dette qui ne sont pas annulés ! » Tous les Français qui
vont bientôt voir leurs impôts et taxes diverses augmenter (impôts
sur les successions, CSG et tout ce qui va tomber à partir de la
rentrée) vont apprécier ce trait d'humour.
Quand commence le délit
de Haute Trahison pour un chef d'état ? Annuler une créance de
plus de 3 milliards d'euros sans aucune contrepartie alors que le
pays est au bord de la faillite, n'en est-il pas un ?
Hollande Ouille a reçu,
en tant que co-prince d'Andorre, le chef de gouvernement et le président
du Parlement de cette principauté pendant une heure. L'ahuri a
annoncé au terme de cette visite plus protocolaire que formelle,
qu'il fallait « développer les échanges commerciaux avec
l'Andorre et permettre à des investisseurs de s'y installer ».
L'Andorre : 468 km2, 85 000 habitants : une vraie Terre
Promise pour investisseurs donc ! Monte-bourre-le-mou, ministre
du redressement productif, devrait suggérer à PSA d'exporter
massivement dans cet eldorado pour retrouver le plein-emploi et
sauver Aulnay...
Promouvoir l'installation
d'investisseurs dans cette principauté souvent considérée par les
pays à forte fiscalité, comme un inacceptable paradis fiscal, de la
part d'un président socialiste, ça ne manque pas de piquant. La
question se pose donc : notre président a-t-il toutes ses
facultés quand il parle ?
En revanche, il aurait
été bien inspiré de considérer quelques faits économiques
relatifs à la prospérité de ce tout petit pays : pas d'impôt
sur le revenu, pas d'impôt sur la fortune, fiscalité très légère,
l'essentiel des ressources de l'état provenant de taxes à
l'importation, très peu de fonctionnaires (2%!)... des fois que ça
lui donne des idées à appliquer...
Mais Hollande Ouille
n'est pas le seul à dérailler gravement pendant cette période de
vacances. Valls, ministre de l'Intérieur, décide de remettre en
cause les critères de naturalisation mis en place par son
prédécesseur Claude Guéant, sous prétexte, évidemment, que ces
critères sont « discriminants ». Il prend pour exemple
le test de culture général, auquel, selon lui, même les
« ministres et les sénateurs » auraient du mal à
répondre. Or il y a belle lurette que la culture générale des
ministres et des sénateurs, ou de n'importe quel de nos
représentants d'ailleurs, a cessé d'être un critère
d'évaluation ! Il faudrait rappeler à notre socialiste Vals
que 40 ans de politique éducative par ses pairs ont mis en ruine le
savoir de base. Cela étant, sa remarque étant pertinente, peut-être
faudrait-il destituer de leurs fonctions les ministres et les
sénateurs qui ne sauraient pas répondre à ce QCM de simple culture
générale soumis aux candidats à la naturalisation...
Bref, selon Vals, la
naturalisation ne doit pas être vécue comme la fin d'un parcours du
combattant, (donc surtout ne pas être difficile à acquérir,
toujours cette rhétorique purement socialiste de tout obtenir sans
effort), mais l'issue d'un processus d'intégration. Dommage qu'il ne
détaille pas ce fameux processus d'intégration. Mais il promet de
se concerter dès cet été avec les associations et les syndicats de
défense des sans-papiers. En d'autres termes, il va demander aux
organisations collaborationnistes leurs critères de naturalisation
pour les envahisseurs : on voit d'ici la rigueur de ces
critères... Un peu comme si Pétain avait proposé aux seuls
collabos d'établir les règles d'accueil de l'envahisseur allemand
...
Et comme si cela ne
suffisait pas, Vals annonce remettre également en cause le délit de
solidarité qui permettait de poursuivre les actes d'aide apportée à
des étrangers en situation irrégulière sur la même base juridique
utilisée contre les filières criminelles d'immigration. Les
collabos de tous poils ont de beaux jours devant eux.
Dans le même esprit,
Vals désire conserver « l'acquis » de Shengen, en
renonçant aux contrôles aux frontières, à leur fermeture
unilatérale pour tenter de contrer l'immigration illégale.
Et enfin, le titre de
séjour accordé aux étrangers sera désormais pluri-annuel :
trois ans au lieu d'un !
Bref, la porte à
l'immigration de masse de la misère mondiale n'est plus grande
ouverte, elle est purement et simplement retirée, et le tapis rouge
est déroulé.
Là aussi, cette question
à laquelle il faudra bien apporter un jour prochain une réponse :
cette politique délibérément suicidaire n'est-elle pas passible d'une présentation de ses responsables devant une Cour pour Haute Trahison ?
Bonjour,
RépondreSupprimerJe serai interéssé par un partenariat, un échange de bannière, de liens vers nos sites respectifs.
N'hésiteez pas à consulter http://www.olivier-bernard.fr/societe/pourquoi-l-islam-n-est-pas-compatible-avec-la-republique/ et m'écrire votre réponse.
Cordialement