Réunion de crise à l'Elysée. Tous les conseillers de Macreux lui ont demandé une réunion d'urgence. Les voilà tous autour d'une table dans un salon élyséen.
Un des conseillers : "Monsieur le Président, la situation est grave. Nous vous avons proposé cette réunion afin de faire le point..."
Macreux : "Grave ? Qu'est-ce que vous me racontez ? Ces Jeux Olympiques se sont déroulés comme dans un rêve ! Des cérémonies grandioses qui nous ont permis d'exposer aux yeux du monde entier nos valeurs. Des médailles à foison. Pas d'attentat. Et vous m'avez vu ? Toujours sur le devant de la scène ! Vous m'avez vu mélanger, tout à la fois, hommage à tous les libérés du sexe, ravivage de la flamme du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe, et mes sautillements sur le mode « qui ne saute pas n'est pas français » avec nos athlètes handicapés en chaise roulante à mes côtés ?"
Un autre conseiller : "Oui, certes, nous avons vu. C'est gentil d'avoir effectivement montré au monde entier où en étaient nos « valeurs »... Passons. Nous imaginons aussi comment auraient réagi les Poilus pris sous la mitraille allemande dans les tranchées de Verdun si on leur avait annoncé qu'une fois qu'ils auraient donné leur vie pour la France, on allait leur rendre hommage au milieu de la célébration des pédérastes, lesbiennes, pédophiles et des amateurs de changement de sexe. Mais nous ne voulons pas vous parler de ça."
Un conseiller prend le relais : "Monsieur le Président, nous voulons évoquer avec vous d'autres sujets."
Macreux : "Il y aurait d'autres sujets en ce moment ?"
Un conseiller : "Il ne vous a pas échappé que pendant près de deux mois après votre dissolution de l'Assemblée et de la démission du gouvernement qui en a découlé, la France n'avait pas de gouvernement ?"
Macreux, en levant les yeux au ciel : "Ah, ça !"
Un conseiller : "Les Français ont du mal à comprendre comment il est possible de décider cette dissolution en quelques minutes à peine, en réaction quasiment épidermique, après votre échec aux européennes..."
Macreux : "Ah là, je vous arrête. Ce n'est pas mon échec, c'est celui de... de... comment elle s'appelle déjà, celle-là... ?"
Un conseiller : "Valérie Hayer."
Macreux : "Ah oui, Hayer... J'aurais mieux fait de chercher ailleurs! Hayer-ailleurs. Ailleurs-Hayer! Ha ha ha ha ha! Mais bon, c'est son échec ! Pas le mien !"
Un conseiller : "Peu importe. Comment avez-vous pu mettre autant de temps à choisir un nouveau Premier Ministre ?"
Macreux : "Comme si je n'avais que ça à faire ! J'ai été très occupé à occuper les écrans avec ces Jeux Olympiques, comme vous avez pu le remarquer !"
Un conseiller : "Nous avons aussi une situation internationale explosive. Nous sommes peut-être à la veille du déclenchement d'une troisième guerre mondiale que recherche l'oligarchie mondialiste avec le conflit en Ukraine !"
Macreux : "Que voulez-vous que j'y fasse ? L'Amérique s'occupe de notre politique étrangère, des fois que vous ne l'auriez pas remarqué..."
Un conseiller : "Et le Moyen-Orient, avec cette querelle de famille sémite qui risque de s'étendre à toute la région?"
Macreux : "Même réponse ! Je fais ce qu'on me dit de faire. Ou plutôt, en l'occurrence, je ne fais rien comme on me dit de ne rien faire..."
Un conseiller : "Monsieur le Président, nous pouvons effectivement nous concentrer sur nos affaires intérieures, si vous voulez. Mais notre situation économique et financière est catastrophique : nous avons une dette stratosphérique qui engagera les Français sur plusieurs générations. Car nous sommes déjà aussi en tête des pays développés les plus taxés au monde!"
Un autre conseiller : "Notre balance commerciale est déficitaire. Nous achetons au monde plus que nous lui vendons. Nos grands groupes industriels s'exilent à l'étranger quand ils ne sont pas rachetés par des groupes concurrents étrangers, surtout dans le domaine des hautes technologies, prometteuses pour l'avenir. Notre budget de fonctionnement est également en déficit, votre Europe menace de nous mettre sous tutelle et de nous infliger des amendes!"
Macreux : "Messieurs, vous avez une vision étriquée des choses. Vous ne pensez qu'à la France ! Qu'est-ce que j'en ai à battre, de la France ? Ce qui importe, c'est l'Europe ! D'abord l'Europe, rien que l'Europe !"
Un conseiller : "Mais même au sein de l'Europe, la France compte de moins en moins. L'Allemagne sent le vent tourner et commence à prendre ses distances avec les règles européennes, notamment en matière d'immigration. Comme la Suède et les Pays-Bas du reste. Et cette même Allemagne comprend qu'elle souffre énormément des sanctions économiques à l'égard de la Russie qui devaient, selon votre ministre de l'Economie, la mettre à genoux..."
Un autre conseiller : "Et nous, Monsieur le Président, que faisons-nous ?"
Macreux : "Nous soutenons mon copain Zelensky. Ah ce Zelensky, quel bel homme ! Mais je m'égare. Nous le soutiendrons jusqu'au dernier Ukrainien s'il le faut. C'est une question d'honneur !"
Un conseiller : "Mais comprenez-vous que si Trump est élu, la guerre en Ukraine devra s'arrêter et on se retrouvera Gros-Jean comme devant ? Ne croyez-vous pas qu'il serait temps de changer un peu notre cap, comme l'a compris Scholz, qui n'est pourtant pas le lampadaire qui éclaire le mieux la rue ?"
Macreux, en faisant la moue : "Mouais..."
Un conseiller : "Pour rester dans les affaires intérieures : nous subissons une immigration de plus en plus forte qui pompe nos finances sociales au détriment des Français, alimente une délinquance de plus en plus violente et omniprésente, détruit notre culture originelle, …"
Macreux : "Mais j'ai déjà dit publiquement que votre France n'avait pas de culture propre ! Sur quel ton me faut-il vous le répéter ?"
Un conseiller : "Toujours est-il que les Français ne partagent pas votre vision des choses. Regardez-donc les résultats électoraux qui s'enchaînent et qui vous désavouent à chaque fois !"
Un autre conseiller : "Ces Français ont bien conscience de la dérive sécuritaire de leur pays, dérive que la Justice n'endigue en aucune façon, quand elle ne l'encourage pas elle-même. A ce propos, vous avez des nouvelles de Dupont-Moretti ? Il est encore de ce monde ? En tous cas, les Français sont de plus en plus réalistes sur la situation du pays. Ils voient bien qu'ils s'appauvrissent, qu'ils sont de plus en plus en danger dans leur vie quotidienne, de moins en moins bien instruits à l'école, de moins en moins bien soignés, et que leur avenir s'obscurcit davantage chaque jour. Et ils perçoivent bien le tournant totalitaire que prend leur régime politique, avec une censure omniprésente, aussi bien médiatique que sur le plan de la pensée et de l'expression publique."
Macreux : "Bon, bon... Attendez-moi quelques minutes. J'ai un coup de fil à passer, et je reviens."
Dix minutes plus tard, Macreux revient à la table, s'assoit avec un grand sourire aux lèvres.
- "Messieurs, j'ai appelé le cabinet McKinsey et lui ai rapporté vos propos. Ses collaborateurs n'ont pas tardé à me proposer leur solution, que je vais m'empresser d'appliquer !"
Grand soupir de soulagement chez les conseillers présidentiels.
Macreux : "Voilà : Nous allons faire du 14 septembre de chaque année, la grande Fête nationale du Sport !! Merci messieurs ! Vous voyez, il n'y a pas de problème sans solution ! Je vous remercie. La séance est levée."
Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.
En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.
Veni, vidi, vici, disait Jules César, personnellement, je suis venu, j’ai vu et je ne suis pas convaincu , copie à revoir M. Macron, une mauvaise note, au coin avec le bonnet d’âne…..
RépondreSupprimerÉsope.