Avant d'aborder ses élucubrations dans cet article, Saucisson-Pinard vous engage à vous abonner à son blog (cliquer sur "s'abonner" dans la colonne de droite ci-contre) afin de lutter contre les algorithmes de gogole. Ces derniers ont justement pour vocation d'invisibiliser ces élucubrations qui ne font pas rire un establishment manquant cruellement d'humour. Merci !
Ça fait maintenant bien plus d'un an que le conflit russo-ukrainien a commencé. Bien plus d'un an que l'Occident s'inscrit de plus en plus assurément comme cobelligérant, en appui de l'Ukraine. Cette cobelligérance est évidemment médiatiquement non-dite, mais elle n'en est pas moins réelle. Quand on envoie massivement de l'argent et des armes en Ukraine au lieu de limiter son intervention à une aide humanitaire (ce qui serait concevable), quand on applique des sanctions à l'égard de la Russie et uniquement de la Russie, quand on invite le joueur-de-piano-avec-sa-bite qui fait office de président ukrainien au G7 (depuis quand l'Ukraine fait-elle partie du G7?), quand Macreux lui assure le transport à bord d'un avion aux couleurs de la France, il faut appeler un chat un chat, et un cobelligérant un cobelligérant.
Mais alors, une question se pose : quand a-t-on consulté les peuples pour s'assurer qu'ils étaient d'accord pour être entraînés dans ce conflit qui, objectivement, ne les concerne pas ?
Cette question se pose pour chacun de ces pays cobelligérants qui ne s'avouent pas l'être publiquement. Les Français, les Allemands, les Anglais, les Américains n'ont à aucun moment eut à répondre à la simple question : êtes-vous d'accord pour que votre pays entre en conflit ouvert contre la Russie, aux côtés de l'Ukraine dont vous ignoriez à peu près tout avant février 2022, si ce n'est quelques entrefilets médiatiques occasionnels qui qualifiaient ce pays de champion de la corruption ?
Or, le Droit est formel, en tous cas en France : pour que le pays entre en guerre, la question doit être posée au moins au Parlement et recevoir une réponse affirmative. N'évoquons même pas la solution d'un référendum auquel notre prétendue démocratie et notre République et ses fameuses « valeurs » sans cesse évoquées, semblent avoir définitivement renoncé à avoir recours.
Aussi, quand on dit « la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et l'Amérique sont en guerre non-dite contre la Russie » que veut-on dire réellement ? Veut-on dire « les Français, les Allemands, les Britanniques et les Américains veulent entrer en guerre contre la Russie » ou plus exactement, « Macreux, Scholz, Sunak et Biden veulent affronter Poutine ? ». La nuance sémantique entre ces deux façons de poser la question n'en est, en fait, pas une !
Pour tenter d'apporter une réponse claire à la question si cet engagement belliciste des dirigeants occidentaux sus-nommés est une décision personnelle de chacun d'eux (ou des états profonds qui les manipulent, mais peu importe, ne compliquons pas le débat...) ou si il est partagé par leurs peuples, imaginons l'hypothèse suivante :
Macreux est porteur d'un virus mortel. Ce virus, une fois implanté dans l'organisme, ne met que quelques heures à appliquer sa funeste besogne. Or, au cours de ce dernier G7, Macreux serre la main de Biden-the-cheater, de Rishi Sunak, et d'Olaf Scholz. D'ailleurs, il ne fait pas que leur serrer la main, il les papouille allègrement comme il a l'habitude de faire avec tous ses interlocuteurs. Pendant qu'il y est, il papouille aussi Zelensky et la Hyène (Tous les goûts sont dans la nature. A propos, à quel titre elle était au G7, celle-là? De quel pays est-elle la représentante ?).
Et pendant qu'on y est, et pour faire bonne mesure, imaginons que le Sunak infecté a l'occasion, à son retour à Londres, de serrer la main de Boris Johnson. Il n'y a pas de raison, après tout ; Johnson a été le premier à étouffer au début du conflit, toute tentative de négociation de paix.
Bref, le virus se répand comme la poudre dans l'organisme de ces « élites » et ces belligérants en puissance, à peine rentrés dans leurs pays respectifs, trépassent tous. Imaginons.
Bon, c'est vrai, Saucisson-Pinard vous l'accorde, cette hypothèse est assez capillo-tractée.
Imaginons alors une autre hypothèse. Imaginons qu'un tireur d'élite ou un drone, ou n'importe quel autre moyen que les technologies modernes doivent aujourd'hui permettre, (d'autant que la Russie semble être plutôt à la pointe en ces matières), vise personnellement Macreux, Sunak, Scholz et Biden. Quitte à rêver, ajoutons à cette liste de cibles, Zelensky et la Hyène, pour faire bonne mesure. Imaginons que chacun d'eux aille donc, enfin, faire quelque chose de positif de leur vie, pour changer, en allant nourrir les vers.
Dans cette hypothèse ou dans la première évoquée, la question en finalité reste la même : est-ce que le conflit russo-ukrainien ne trouverait pas d'un seul coup d'un seul une nouvelle destinée ? Est-ce que franchement, les peuples français, anglais, allemand et américain reprendraient à leur compte les intentions bellicistes de leurs leaders disparus ? Saucisson-Pinard en doute.
Etant donné l'impopularité de chacun de ces dirigeants dans leurs pays respectifs, est-ce que chaque peuple ne s'en avouerait pas, mezza voce, plutôt soulagé, et ce conflit ne s'éteindrait-il pas de lui-même, la Russie récupérant le Donbass, et le peuple ukrainien ne verrait-il pas son cauchemar se terminer enfin ?
Et franchement, qui regretterait la Hyène, à part son mari qui a bien bénéficié financièrement des largesses de l'UE à son égard grâce à la position de son épouse à la Commission européenne, et à part Bourla, PDG de Pfizer, qui aurait à trouver un autre fonctionnaire de l'UE à corrompre pour vendre ses poisons ?
On rétorquerait à Saucisson-Pinard que la disparition de Poutine pourrait aussi être évoquée. Certes, mais justement, cette hypothèse, au contraire des deux premières imaginées ci-dessus, ne changerait rien, sinon en pire, à la situation de la guerre actuelle. Car Poutine est, lui, soutenu par sa population, et s'il lui est reproché quelque chose, ça serait plutôt de ne pas vouloir régler le sort de l'Ukraine plus drastiquement. Et le successeur de Poutine, par exemple Medvedev, pourrait ne pas avoir les mêmes scrupules à épargner la population civile ukrainienne et à ne se concentrer que sur l'armée de Zelenski, ses milices nazies et ses mercenaires.
Les merdias occidentaux soutiennent largement l'agressivité à peine voilée des leaders américano-européens. Mais les citoyens, surtout européens, savent, eux, intuitivement qu'ils n'ont absolument rien à gagner objectivement dans une guerre avec la Russie. Ils souffrent déjà économiquement des sanctions imbéciles prises contre elle et qui leur reviennent en boomerang en pleine gueule. Ils pâtissent aussi sévèrement de l'explosion des prix de l'énergie. Ils ont aussi plus ou moins conscience que les sommes faramineuses qui sont envoyées à Zelenski, seront en temps voulu puisées dans leur bas de laine...
Malgré un battage médiatique quotidien qui confère au matraquage, ils savent qu'ils ne sont en rien concernés par ce qui arrive à l'Ukraine. Les mieux informés d'entre eux connaissent les raisons objectives que la Russie a eu à intervenir pour défendre les russophiles russophones du Donbass après huit années d'agression caractérisée du gouvernement de Kiev.
Et, enfin, si on disait aux boomers, la fraction électorale encore en soutien relatif de Macreux : « Etes-vous prêts à voir vos enfants quitter leurs familles et être envoyés au front pour défendre l'Ukraine ? », Saucisson-Pinard doute fortement de leur enthousiasme.
En conclusion, l'hypothèse d'une disparition de la scène géopolitique, due à Dame Nature ou à Dame FSB, de Macreux et de ses acolytes ne semblerait plus, tout bien pesée, présenter beaucoup d'inconvénients. De là à croiser les doigts...