Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

mardi 19 mars 2019

Complicités.



Black-Bloc: la Schutzstaffel de Macreux
Les Gilets Jaunes sont « complices » des auteurs d'exactions sur les magasins des Champs-Elysées durant les manifestations. Voilà la dernière trouvaille de Macreux pour se défausser du chaos que la politique de ces quarante dernières années a généré et qu'il poursuit de plus belle depuis bientôt deux ans.
On a décidément un président champion de la fuite des responsabilités.

Résumons donc un peu la situation.
Les Gilets Jaunes est un mouvement spontané, créé par aucun parti politique, aucune association, aucun lobby. C'est d'ailleurs ce qui en fait à la fois sa force et sa faiblesse : sa force, parce qu'on ne peut pas l'accuser de récupération ou d'être un mouvement sous-marin d'une puissance factieuse quelconque. C'est également sa force, parce qu'il est par essence insaisissable et donc, de par le fait, non manipulable. C'est sa faiblesse aussi parce qu'évidemment, la liste de ses revendications est un peu l'auberge espagnole de la politique. On y trouve un peu de tout et un peu de toutes les couleurs politiques, mais le point commun qu'on pourrait retrouver parmi toutes les revendications pourrait se résumer en une phrase : « on ne veut pas de ce qui se passe actuellement, on veut un changement, et surtout on veut être les acteurs de ce changement ». Le souhait de RIC (Référendum d'Initiative Citoyenne) pourrait être l'ossature architecturale de cette revendication de base. La spontanéité du mouvement des Gilets Jaunes en est aussi sa faiblesse parce que l'organisation de ses manifestations puent l'amateurisme et que les infiltrations d'éléments exogènes sont aisées. Ces éléments sont de deux natures : les casseurs, pilleurs, racailles de banlieue d'une part, et les politiques gaucho-anarchistes représentés par les antifas et les black-blocs d'autre part, la porosité entre ces deux catégories étant, du reste, très importante.

Les Gilets jaunes ont à l'évidence, dès le début, interloqué le pouvoir macronien et sa clique médiatique. L'un et l'autre ont commencé à réagir par le mépris : les Gilets Jaunes étaient des incultes, des faignants, des moins-que-rien. Ce mépris est même allé assez loin dans l'anecdotique. Stéphane Guillon, qui est comme chacun sait, un modèle d'élégance vestimentaire, un Brummel contemporain, a poussé le grotesque jusqu'à dénigrer le look des Gilets Jaunes : « Des révolutionnaires en gilets jaunes...avec leur sac Lidl ! Le mauvais goût, ça suffit, la pauvreté n'excuse pas tout » a péroré ce bobo subventionné lors d'une émission de Vivement Dimanche sur le divan de papy Drucker. C'est sûr que les émoluments versés aux humoristes ratés mais corrects politiquement, par la radio d'Etat financée par le contribuable, permettent aux intéressés de se dispenser d'aller faire leurs courses dans les Lidl...

Mais comme ce mépris n'arrêtait pas les manifestations, voire même, éventuellement, les encourageait, le pouvoir a alors opté pour la répression dure : matraquage sévère, gaz lacrymo à tort et à travers, grenades, mains arrachées, éborgnements, tirs tendus et quasiment à bout portant de LBD, justice expéditive. Soyons juste, cette répression n'a pas concerné tous les acteurs présents sur la scène des manifestations. Curieusement, les auteurs de pillage semblent avoir été dispensés de ces traitements. Ils ont pu vaquer tranquillement à leurs occupations de casse, vols et dégradations, merci pour eux.

Comme cette répression ne suffisait pas non plus à décourager les Gilets Jaunes, les merdias ont eu recours à l'arme nucléaire de l'insulte politique qu'est la dénonciation d'antisémitisme, avec la sur-exploitation de l'épisode Finkelkraut agressé verbalement (et rien que verbalement) par quelques militants musulmans pro-palestiniens opportunément vêtus du gilet de sécurité routière.

Las, les manifestations du samedi se reconduisaient de semaine en semaine.
Convaincu qu'il fallait à tous prix discréditer le mouvement des Gilets Jaunes aux yeux de l'opinion, Macreux a donc laissé une totale impunité aux violents, aux pilleurs, aux casseurs, lui-même affichant un cynisme et une arrogance sans borne en allant profiter d'une journée de ski précisément ce fameux samedi pourtant annoncé comme étant de tous les dangers. Par ailleurs, on remarquera qu'il n'est pas certain que le déplacement de toute une Cour pour s'offrir quelques heures de com' sur neige à 800 Km de Paris, soit vraiment une bonne illustration du slogan « make our planet great again » revendiqué lors du dernier salon-escroquerie pour le climat. « Faites ce que je dis, pas ce que je fais » pourrait être bien le préalable en titre de la politique macronienne. Mais c'est un autre sujet.

En dépit du mépris, de la répression, de l'insulte politique et des tentatives de discrédit, les manifestations se poursuivent.
Comme le distinguo entre les manifestants Gilets Jaunes pacifiques et les casseurs-pilleurs-racailles-extrêmistes de gauche violents est néanmoins par trop évident pour le Français de la rue, malgré toutes les tentatives de manipulation médiatique, Macreux et ses sbires se rabattent donc sur une version édulcorée : « Bon d'accord, les vrais Gilets Jaunes ne sont pas des casseurs, mais ils en sont les complices ! »
Un peu comme si le cambriolé qui a laissé sa porte non verrouillée, devenait complice de son cambrioleur ! Il fallait oser le dire, Macreux, son premier sinistre et son Rantanplan de Castaner l'ont fait !

Il y a pourtant des complicités bien plus évidentes, s'il faut parler de complicités.

Macreux est complice de la politique imposée par l'UE qui a conduit les Gilets Jaunes dans la rue. Comme ministre des Finances de Hollande d'abord, puis comme président de la république aujourd'hui. Il est complice de la politique de Bruxelles, inféodée aux oligarques, et responsable de l'appauvrissement des Français moyens. Il est complice dans l'asservissement de la France à l'euro qui, selon les calculs du Centre de Politique Européenne (émanation de l'UE, qu'on ne peut donc pas taxer d'anti-européisme viscéral), a coûté, à chaque Français, la bagatelle de 56 000 euros de pouvoir d'achat en vingt ans ! (soit pour chaque Français, enfants compris, l'équivalent de 233 euros de perte de pouvoir d'achat chaque mois, dûe à l'adoption de l'euro comme monnaie unique et commune!)

Macreux est complice des pilleurs des magasins des Champs-Elysées pour les avoir laissés faire au vu et au su des forces de l'ordre qui ont reçu la consigne de ne pas intervenir, selon l'aveu même de représentants syndicaux policiers (Unsa-Police).

Castaner, incompétent notoire choisi par Macreux pour être son sinistre de l'Intérieur, est complice de cette politique de discrédit envers les Gilets Jaunes, et ce, aux frais des victimes de ces pillages.
Complicité encore de Castaner avec les racailles de banlieue venant dans les manifestations avec des meuleuses pour briser des vitrines et des distributeurs de billets, alors que des Gilets Jaunes se font refouler parce qu'ils portent des lunettes de protection contre les gaz lacrymo.
Complicité enfin dans la décision de Macreux de faire payer les lampistes comme le préfet de police d'Ile de France, pour masquer son incompétence et son laxisme à géométrie variable.

Les merdias sont complices de la politique de Macreux pour l'avoir fait élire d'abord, et pour mentir ensuite sur ses agissements. Il faut entendre sa copine Ruth Elkrief prétendre que jusqu'à novembre 2018, début des manifestations des Gilets Jaunes, son président de la république préféré était « adulé » (sic) par les Français  ! Il faut entendre le roquet Apathie, qui s'est trompé de métier et aurait dû rester garçon de café, vomir son fiel sur les Gilets Jaunes chaque matin sur Europe 1. Il faut voir les reportages manipulés de France 3 avec images falsifiées, il faut voir les prétendus débats politiques organisés par des chaînes de télévision ou de radio où est systématiquement évitée la présence de l'UPR, ce parti aux arguments anti-UE trop sérieux pour être contestés et à l'image pas assez polémique pour servir de repoussoir.

Vous voulez encore des exemples de complicité ? En voilà :

Complicité des merdias avec la politique immigrationniste, qui consiste à occulter systématiquement ses conséquences : coût exorbitant (« un pognon de dingue » comme dirait notre bankster de président), délinquance, refus d'assimilation, baisse de QI moyen, déculturation.

Complicité des merdias avec l'islamo-collaborationisme : refuser l'amalgame quand des terroristes muzz invoquent le Coran pour justifier leurs tueries, mais y avoir recours en l'encontre de la France Identitaire dès qu'un déséquilibré attaque une mosquée en Nouvelle-Zélande après avoir été le témoin des ravages du Grand Remplacement en France.
Si vous avez besoin d'un vomitif, faites l'économie d'un médicament et lisez Le Parisien qui titre : « 49 morts en Nouvelle-Zélande : tout a commencé en France... »
Le déséquilibré en question, de son propre aveu ex-communiste, ex-anarchiste, « éco-fasciste » et dont le pays de prédilection est la Chine communiste, se voit qualifier d'extrême-droite (?) au seul motif qu'il s'en est pris à des muzz.

Complicité encore quand ces mêmes merdias en font des tonnes sur cinquante victimes muzz parce que c'est un individu Blanc ne représentant que lui-même, qui en est la cause, mais font l'impasse quand des dizaines de muzz chiites sont trucidés dans leurs mosquées dans des attentats sunnites, ou quand 300 Chrétiens sont exécutés au Nigéria par des islamistes Peuls.

Complicité d'une Justice politisée qui condamne un Zemmour pour avoir dit que les prisons françaises avaient une population majoritairement d'origine immigrée (ce qui est exact), mais ne donne qu'une amende ridicule et avec sursis à un rappeur qui chante (enfin...chante, c'est beaucoup dire...) « Pendez les Blancs ».

Complicité de cette même Justice qui enferme préventivement en attendant son procès, pendant des semaines, un manifestant qui a donné un coup de poing nu à un flic harnaché d'armure, casqué et armé, mais qui laisse en liberté un violeur muzz au motif que ses références culturelles sont « différentes ».

Et on pourrait dénoncer encore beaucoup de complicités en lâcheté, en traîtrise, en incompétence, en manipulation de l'opinion, et en désinformation.

A ce petit jeu du « tu-es-complice-de-ce-qui-m'arrive-de-fâcheux-parce-que-je-ne-peux-pas t-accuser-d'-en-être-le-responsable-direct », il n'est pas sûr que Macreux soit à la veille de gagner !


3 commentaires:

  1. Bravo!Une fois encore vous résumez parfaitement la situation. Il faudrait que ce billet soit lu aux journaux télévisés de 20h...Oui je rêve, veuillez me pardonner.

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  2. Merci, mais si, en plus, il est interdit de rêver...

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  3. Bien parlé! Quarante cinq ans d'invasion et toujours deux poids deux mesures! Plus que jamais, même, il se trouve que notre démocratie a produit Macreux après toute une ribambelle de branquignols politiquement corrects mais toujours assez habiles pour éviter l'explosion. Le petit dernier, lui, s'est cru tout permis et continue à le croire... les évènements trancheront mais bien malin qui pourrait prédire l'issue.
    Amitiés.

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