Saucisson-Pinard a eu
l'immense privilège d'interviewer le Président Touvamieux quelques heures à peine après l'attentat niçois du 14 juillet.
En voici le fidèle
compte-rendu :
SP : Monsieur le
Prés..., Monsieur le Présid..., Monsieur Hollande, excusez-moi,
j'ai beaucoup de mal à vous appeler par votre titre...
FH : Je vous en
prie, moi-même j'ai beaucoup de mal à remplir le rôle...alors... !
SP : Monsieur
Hollande, euh... enfin, pépère, comment réagissez-vous au
lendemain de ce tragique événement de Nice ?
FH : Eh bien, je
tiens à exprimer aux Français tout mon soutien...
SP : Oui, d'accord,
mais que comptez-vous faire enfin ?
FH : La France est
un grand pays...
SP : Oui, OK, mais
allez-vous agir concrètement ?
FH : La France est
un pays fort...
SP : Bon, oui,
certes, mais je reviens à ma question, quelles sont vos premières
mesures fortes, justement ?
FH : Je suis content
que vous me posiez la question, car vous le savez, je suis un homme
d'action...
SP : Ah ?
FH : Eh bien, comme
je l'ai dit dès cette nuit quand j'ai appris la nouvelle, on ne peut
pas nier qu'il s'agit d'un acte terroriste...
SP : Bah, non,
c'est la moindre des choses...
FH : Non, on ne peut
pas le nier. J'aurais bien voulu, notez bien, mais, vraiment, cette
fois, je ne peux pas le nier. J'aurais bien aimé dire qu'il
s'agissait d'un chauffard ayant perdu le contrôle de son véhicule.
Mais c'est vrai qu'avec un pistolet à la main, c'est pas facile à
justifier. Même par mes services. J'aurais même préféré parler
éventuellement d'un déséquilibré, voire même à l'extrême
limite, d'un fou. On l'a déjà fait, n'est-ce pas ? Mais là,
même avec la meilleure volonté du monde, on ne peut pas le nier,
hélas. C'est un terroriste. Mais c'est pas faute d'essayer...
SP : Oui, un
terroriste musulman...
FH : Un terroriste
mu...euh..., un terroriste mu... euh..., bref, un terroriste, quoi !
SP : Un terroriste
islamiste, voulez-vous dire peut-être ?
FH : Non, je veux
dire un terroriste. Juste un terroriste.
SP : Mais il était
bien arabe, non ?
FH : Rien ne dit en
l'état de l'enquête, que Mohamed
Lahouaiej Bouhlel était mu..., était isl... enfin, bref,
qu'il était ce que vous dites....
SP : Alors, crétin
des Alpes, je reviens à ma question, que comptes-tu faire ?
FH : Eh bien, je
vais prendre des mesures fortes et rien ne m'arrêtera. Il faut
compter sur la solidarité nationale, et la France est un grand pays,
un pays fort et...
SP : On sait, on
sait. Mais putain, qu'est-ce que tu vas enfin faire, Ducon ?
FH : Eh bien, comme
je disais, mon expérience de gestion de crise va pouvoir s'exprimer
dans toute sa force et sa détermination, et ce crime ne restera pas
impuni, nul n'a le droit d'en douter.
SP : Mais encore ?
FH : Eh bien, je
vais convoquer les ministres de mon gouvernement à une réunion de
crise. Et vlan, ça, c'est dans la gueule des terroristes. Ils
s'attendaient pas à ça, les salopards, hein ?
SP : Oui, mais pour
quoi faire ?
FH : Attendez, j'ai
pas fini. Je préside donc une réunion de crise, et d'une. Et je
décide de faire une allocution aux Français pour leur dire comme je
les aime. Et de deux. Vous remarquerez que ça, c'est dès le
lendemain d'une interview du 14 juillet qui m'a permis de m'exprimer
auprès des Français. Deux allocutions en deux jours. Je fais fort,
non ?
SP : Oui, hier,
vous avez effectivement dit que tout allait bien mieux grâce à
votre action et que l'état d'urgence allait pouvoir être levé...
FH : Oui, et
aujourd'hui, je dis que je vais le prolonger, tellement il a été
efficace. C'est pas de l'esprit de décision, ça ? Ça vous en
bouche un coin, non ? Les terroristes ne s'attendaient sûrement
pas à une telle réaction, hein ?
SP : Et puis, quoi
d'autre ?
FH : Eh bien,
j'enchaîne aussi sec sur la mise en berne de nos drapeaux. Et
re-vlan dans la gueule des terroristes. Non, qu'est-ce que vous
voulez, quand on est ferme et décidé, on est ferme et décidé !
SP : C'est tout ?
FH : Bien sûr que
non ! Je décide...
SP : De stopper net
toute immigration légale ou clandestine d'arabes ?
FH : Non, je décide
trois jours de deuil national. Avec des petites bougies partout
partout. Et peut-être même avec une plaque sur la Promenade des
Anglais, que je viendrai inaugurer à Nice un de ces quatre.
SP : Et... ?
FH : Et je me
demande si je ne vais pas demander à des chefs d'état de venir nous
consoler avec de belles pancartes « Je suis Nice ». Ça
aurait de la gueule, non ?
SP : Un peu
réchauffé, non ? Mais rien de plus concret ? De
l'expulsion de suspects de radicalisation à double nationalité, par
exemple ?
FH : Euh, non, mais
en revanche, on va remettre une bonne couche de « Padamalgame »...
Et c'est l'occasion ou jamais de prouver à l'égard de notre
communauté musulmane adorée, notre pleine solidarité en allant
inaugurer quelques mosquées salafistes financées par le Qatar ou
l'Arabie Saoudite.
J'aime bien inaugurer.
Presque autant que commémorer. Z'avez remarqué?
SP : Bon, mais
concrètement, il ne serait pas largement temps d'expulser toute
cette tripotée d'imams arriérés qui enfument ces racailles
désoeuvrées ?
FH : Au nom de la
laïcité, le gouvernement ne se mêlera pas d'affaires
religieuses...
SP : Et quand ton
ministre Cazevide va tous les quatre matins serrer la paluche et
cirer les babouches d'imams, c'est au nom de la laïcité ? Et
quand l'espingouine d'Hidalgo célèbre la fin du jeûne du ramadan à
la mairie de Paris aux frais du contribuable, c'est aussi au nom de
la laïcité ?
FH : Nous sommes un
pays fort de sa diversité et...
SP : Ça y est, il
est reparti en boucle, l'ahuri... Et mettre à l'isolement tous les
arabes français de papier qui déclarent leur haine de la France,
dans un pénitencier édifié aux Kerguelen, ça serait pas une bonne
idée, ça ?
FH : Kerguelen ?
Connais pas. Qui en est le maire ? Un camarade socialiste ?
SP : Et enquêter
sur le connard de juge qui donne en mars dernier du 6 mois avec
sursis à ce salopard pour délit de violence avec arme, alors que le
dit-salopard est fils d'un membre extrémiste violent du parti
islamiste Ennahda, ça sera fait ? Condamner ce juge pour, a
minima, faute professionnelle grave, et pourquoi pas, pour
complicité, c'est pas dans les choses concrètes à faire, Ducon ?
FH : Je pense qu'il
est urgent de dénoncer...
SP : … la doctrine
meurtrière de l'Islam, ah, enfin !!
FH : Non, de
dénoncer le populisme du FN...
SP : Bon,
j'abandonne, ton cas est désespéré, pépère.
Tiens, lis ça, des fois
que tu sois pas au courant : voilà un document provenant d'un
blog tunisien, Tunisie-Secret, qui détone quelque peu avec la soupe
médiatique qu'on nous sert actuellement :
« Le
terroriste qui conduisait le camion qui a écrasé 84 victimes à
Nice n’est pas franco-tunisien comme cela a été annoncé par les
médias français mais un émigré tunisien âgé de 31 ans, qui
vivait en France depuis 2011 et qui a obtenu le séjour à la suite
de son mariage avec une franco-tunisienne installée à Nice et dont
il a eu trois enfants.
Il s’appellait Mohamed Lahouaiej Bouhlel et il
est originaire de la ville sahélienne de Mseken. Selon nos sources
policières en Tunisie, son père est membre du parti islamiste
Ennahda et il est connu à Mseken comme étant un extrémiste violent
que la police de Ben Ali surveillait de près et qui est devenu après
janvier 2011 l’un des leaders locaux de Mseken. Le criminel de Nice
ne s’est donc pas improvisé terroriste, mais il né et a baigné
dans un milieu familiale favorable à la violence et au radicalisme.
Le permis de conduire du terroriste et sa carte
de séjour ont été retrouvés dans le camion qu’il a utilisé
comme une arme de guerre avant de se faire descendre par des agents
municipaux qui étaient heureusement armés, contrairement à
d’autres régions qui refusent le port d’armes à la police
municipale. Non satisfait d’avoir tué autant de personnes
innocentes, le terroriste tunisien voulait finir son parcours
criminel sur un manège pour enfants.
Selon certaines sources, cette crapule
terroriste était mariée et père de 3 enfants. Son voisinage
interrogé le décrit comme « pas très religieux,
(qui) ne fait pas la prière, aime les filles et la salsa ».
Des propos habituels qui montrent combien un intégriste daéchien
peut dissimuler son vrai visage avant de passer à l’action. Et des
criminels pareils, il y en a des centaines et des milliers en France.
L’ayant identifié grâce aux documents
retrouvés dans le camion et à l’analyse de ses empruntes
digitales, les autorités policières ont pu retrouver rapidement son
adresse. Une perquisition a eu lieu à son domicile aujourd’hui
vers 09H30 en présence de membres du Raid lourdement armés. Vers
11H00, des membres de la police technique et scientifique étaient
toujours présents dans l’appartement situé dans un petit immeuble
d’un quartier populaire de l’est de la ville.
Mohamed Lahouaiej Bouhlel n’était pas connu
des services de renseignement pour radicalisation et ne disposait pas
d’une fiche S de sûreté pour lien avec le terrorisme. Il était
par contre bien connu des services de police pour des faits de droit
commun, principalement des violences avec arme, violences conjugales,
menaces et vol.
Après analyse et enquête, le corps de cette
crapule sera expédié en Tunisie, où sa famille, ses amis, ses
voisins l’enterreront probablement en « martyr », comme
tous les criminels que ce pays autrefois civilisé et moderne a
produit depuis la « révolution » dite du jasmin qu’on
avait fait faire à la populace tunisienne et que l’ensemble des
politiciens et journalistes Français avaient à l’époque salué,
acclamé et exalté.
Il y a à peine un mois, la France de Monsieur
Hollande recevait en grande pompe le chef des Frères musulmans
tunisiens, Rached Ghannouchi. Parmi les objectifs non avoués à
l’égard d’un tel doctrinaire de l’islamo-terrorisme, encadrer,
contenir et empêcher la jeunesse française de confession musulmane
de basculer dans le radicalisme !!! »
FH : Bon,
l'interview est terminée, Saucisson-Pinard. C'est pas tout ça, mais
j'ai une campagne présidentielle à mener, moi...
Il y a 3 semaine le chef du parti Ehnada était reçu par Jean Marc Ayrault, il était accompagné de sa traductrice jeune députée, voilée, élue des tunisiens de France. Au vu de ce que vous dites sur son père, on peut se demander quels liens il y a entre ces personnes : l'élue des tunisiens de France, Ehnada, et le tueur, résidant en France grâce au mariage avec une franco-tunisienne ..
RépondreSupprimerUne fois encore l'analyse est juste. Je voudrais cependant ajouter, J’ai plus d’un demi-siècle bien tassé d’existence, et je pense, sans prétention, être à même de pouvoir parler, de ces politiques qui sont incapables de maîtriser la machine infernale qu’est la France. Le chômage, depuis trente années et sans interruption, augmente inexorablement. Depuis trente années, l’insécurité sous toutes ses formes augmente, sans que personne ne puisse stopper cette verrue qui pose de graves problèmes, dans la vie de tous les jours. Depuis trente années, les pauvres sont de plus en plus pauvres et, en nombre croissant, et les riches de plus en plus riches. Depuis trente années, l’économie s’est emballée et la aussi, personne, aucun économiste si renommé soit-il, n’est en mesure de trouver la solution miracle. En France, tout est impossible, nos politiques, sont des superficiels, des hypocrites et des fourbes.
RépondreSupprimerL'interview est criante de vérité et le contraste avec le texte, tout à fait signifiant. A ce point nous devrions commencer à faire passer F.H. et ses sbires devant la Haute-Cour pour complicité de crimes contre l'humanité...mais bon on se contente de blâmer les Niçois d'avoir un peu gueulé sur Vallsounet.
RépondreSupprimerVive la République!
Amitiés.
84 morts mais ce qui choque Touraine (RTL ce matin) c'est les huées sur Valls: c'est son échelle de valeur...
Supprimerelle est socialiste ... or le socialisme c'est le Bien ... donc huer un premier ministre socialiste c'est huer le Bien ... c'est digne de l'extrême droite - le Mal absolu - qui, aujourd'hui, menace si fort nos valeurs, notre vivre-ensemble, notre padamalgame ...
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