Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

samedi 8 août 2015

Un milliard deux cents millions d'euros.




Un milliard deux cents millions d'euros : le coût d'une seule connerie élyséenne en politique internationale. Un peu plus en fait, si on compte les cinq millions mensuels de gardiennage des Mistrals, mais ne chipotons pas. Le milliard est désormais l'unité de mesure en euros de l'incompétence de Hollande Ouille, alors on ne va pas à se mettre à compter les millions, ça serait mesquin. Un esprit chagrin pourrait penser que lutter à ce point contre les intérêts du pays devrait normalement relever d'un recours du peuple contre son présidenticule auprès d'un tribunal. Pour Haute Trahison. En cour martiale par exemple, car après tout, notre grassouillet guignol n'est-il pas aussi chef des Armées ?

Mais qu'est-ce qu'un milliard deux cents millions d'euros en réalité ? Mettons cette modique somme en perspective. 
Le Petit Caudillo a promis, dans le budget 2015 une baisse des impôts sur le revenu de 3,3 milliards. Donc, avec cette « simple » bourde du refus de livrer à la Russie cette commande des Mistrals malgré la parole de la France, pour un motif imbécile et inapproprié – ces navires ne faisaient même pas partie des mesures d'embargo prises par nos irresponsables européens aux ordres des USA- c'est d'un seul coup d'un seul, plus de 36% de cette baisse qui part en fumée. 

Ça ne vous parle pas assez ?
Bon. Imaginez que vous ayez bossé comme un damné et amassé un capital – non sans avoir été matraqué fiscalement tout au long de sa constitution, mais passons...- , un capital disais-je, suffisant pour être assujetti à l'impôt sur la fortune. Eh bien, pensez qu'un quart de votre impôt annuel sur la fortune servira à éponger la décision calamiteuse de ce qui fait office de président de la république dans cette affaire de Mistrals pas vraiment gagnants.... Ça fait plaisir, non ? Alors ? Cette idée d'une Cour martiale pour juger Hollande Ouille, elle ne commence pas à trouver une certaine justification, en y réfléchissant un peu ?


Saucisson-Pinard n'est pas arrivé à saisir le moment précis où, par miracle de la sémantique, le clandestin est devenu un « sans-papier » dans le langage médiatico-politique. Pas plus qu'il n'a saisi celui où le « sans-papier » est devenu un simple « migrant ».
Avouez qu'elle est belle et riche notre langue, surtout lorsqu'elle est manipulée par la bien-pensance gaucho-compatible. Le clandestin a perdu sa culpabilité et est devenu, comme par magie, une victime. Une victime à qui les méchants que nous sommes tous, nous les Français de souche, refusent d'accorder un simple papier administratif.
Puis un jour (mais lequel?) la victime ex-coupable a gagné ses galons de symbole de liberté, un peu comme l'oiseau migrateur qui fait fi des frontières. Oiseau migrateur dont les mêmes méchants, toujours nous autres les Européens de souche, entravent le cheminement.
A la différence près que l'oiseau migrateur reste, lui,  seul responsable de sa propre survie en gagnant lui-même sa pitance sans compter sur les oiseaux locaux pour être entretenu.

Comme de bien entendu, cette affaire des clandestins qui s'agglutinent à Calais, n'est pas sans donner l'occasion aux socialos de se ridiculiser davantage, notamment dans leurs propos. Entendre le Petit Caudillo et le sinistre de l'Intérieur Cazevide en appeler à la responsabilité de la société Euro-Tunnel dans la gestion des clandestins qui entravent son bon fonctionnement vaut son pesant de cacahouètes. Vous imaginez un flic admonester un cambriolé ? : « Non, mais, qu'est-ce que vous foutez ? Vous n'avez même pas blindé votre porte, pas engagé un vigile, pas mis des barbelés autour de votre jardin et des alarmes à chaque coin de votre propriété ? Mais c'est bien fait pour vous si vous vous êtes fait voler ! »
Nos socialos sont décidément d'un insondable culot. Saucisson-Pinard connaissait la blague du comble du culot : déféquer sur le paillasson du voisin et sonner à sa porte pour demander du papier. Mais les socialos font vraiment beaucoup mieux. Ou pire. Selon le point de vue où on se place.

Remarquez, certains représentants des Ripouxblicains ne sont pas mal non plus, quand ils en appellent à la responsabilité des Britanniques, qui ne font pas partie de l'espace Schengen, sans penser que l'Italie pourrait en appeler à la nôtre à Vintimille... D'ailleurs elle le fait.

Saucisson-Pinard profite de cette allusion à l'affaire des clandestins pour s'adresser directement à eux.
"Ami clandestin sans-papier et en migration, si tu es à Paris en recherche d'un abri, de nourriture, de vêtements, d'argent de poche, voire d'un boulot, voici une adresse où on te réservera le meilleur accueil:
29 rue Guynemer, 75006 Paris.

Et n'hésite pas à la transmettre à tes potes. Ton hôte ne sait pas quoi faire pour participer à votre bien-être à tous. Et il saura te recommander les adresses personnelles de ses copains aussi généreux que lui. Alors n'hésite pas."



Saucisson-Pinard terminera cet article sur une manipulation médiatique subtile comme nos journaux télévisés aiment à nous en administrer régulièrement. 

Cela remonte à quelques jours, aux Etats-Unis : une keffir se fait arrêter par un flic blanc, au motif qu'elle n'a pas utilisé son clignotant pour marquer son changement de direction. Le motif est assez banal, c'est entendu. La caméra embarquée dans la voiture de police enregistre la scène. Le flic demande à l'automobiliste, après lui avoir signifié la cause de son arrestation, d'éteindre sa cigarette et de sortir du véhicule. Le tout en anglais bien sûr, puisque cela se passe en Amérique. Et la journaliste française qui commente les images de ce fait divers, fait la traduction des propos du flic sur le fond sonore en VO. Elle utilise dans sa traduction le « vous » de rigueur quand un représentant de la loi s'adresse à un citoyen.
Puis les choses se gâtent. La keffir, dont on apprendra incidemment qu'elle est une militante d'une cause Noire anti-police, se met à refuser d'éteindre sa cigarette et de descendre de sa voiture au motif qu'elle y est « chez elle », dit-elle. Le flic se met alors à réitérer ses ordres en haussant le ton. Et tout d'un coup, la traduction de la journalope française met le tutoiement dans la bouche du flic, alors qu'il n'existe évidemment pas en anglais. Bien sûr, l'ordre donné par le flic paraît tout d'un coup, en français, beaucoup plus méprisant et trivial envers la jeune automobiliste de couleur.
Cette dernière sera évidemment sortie de voiture par la force et emmenée au poste pour rébellion envers un représentant de la loi. De nature suicidaire, - des proches l'ont confirmé- elle se pendra dans sa cellule, d'où le buzz journalistique.
Mais la présentation des faits par la commentatrice, honteusement orientée dans le politiquement correct de rigueur, laisse à penser que le flic a abusé de sa fonction à l'égard de cette pauvre et innocente femme de couleur (pléonasme de bien-pensant), et manifesté, comme tout flic blanc qui se respecte, un racisme évident envers elle...
A croire que le flic aurait dû dire, devant le refus de la femme de s'exécuter : « vous ne voulez pas descendre de voiture ? Bon, tant pis. C'est comme vous voudrez. Bonne route Madame, et excusez-moi de vous avoir importunée. Bien le bonjour chez vous. »
Ah si les relations police-contrevenants pouvaient être aussi urbaines... ! L'angélisme socialiste en matière de sécurité s'en trouverait bien réconforté !

7 commentaires:

  1. à propos de Calais et des "migrants" ... Voilà un problème facile à régler :
    s'ils sont à Calais les migrants, c'est qu'un pays de la zone Schengen n'a pas su les arrêter à sa frontière... bien ! ..Pourquoi faisons nous du zèle pour les empêcher d'en sortir (de l'espace Schengen) ?
    Laissons les passer en Angleterre, si les Anglais veulent "profiter " de Schengen et de son espace protégé, ils n'ont qu'à y adhérer ..
    cour martiale ? , je suis d'accord et cela à chaque fois que la France perd des plumes à cause de décisions débiles !

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    1. Schengen, espace protégé? J'ai du mal à comprendre. Les Anglais ont LEURS frontières, et ça leur suffit. Ils n'ont aucune envie d'avoir des frontières Schengen passoires, et on peut les comprendre. Cela étant, s'ils étaient moins attractifs pour toute la misère mondiale,

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    2. 'Europe toute entière ne s'en porterait que mieux.

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    3. ben oui , espace protégé , c'est Bruxelles qui le dit....ah, vous ne les croyez pas ?
      et d'accord pour dire que les anglais ne sont pas les plus cons des européens : donc laissons passer les migrants... personne ne les force.
      je n'ai rien dit d'autre

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  2. qu'on lui offre un scooter et qu'on lui construise un circuit dans son jardin, avec une petite cabane au fond avec un lit et des dames qui s'allongent cela l’occupera...il n'a plus l'âge de jouer avec des petits bateaux ou des petits avions ..;
    merci pour l'adresse je vais faire de mon mieux pour la distribuer dans la ville a coté , nous avons des barbus en chemises de nuit nécessiteux qui sont dans le plus besoin d'un logement tout confort , j'irai aussi a Loudun ou la population qui va recevoir des invités sera heureuse de faire suivre pour leur offrir mieux que leurs jardins caves et maisons a visiter...
    au fait je crois que le monsieur de la photo avait migré lui aussi d'une certaine manière ..;
    pour le reste de l'actu saucissonnière , et bien l'Amérique est un beau pays , ou quand on arrive voilé à la banque il suffit d'un appel aux flics passé du portable d'un apeuré pour que le voile soit levé manu militari...le progrès n'est pas près d'arriver chez nous.
    quand a Schengen je partage l'avis de la dame Lepen pour cette couillonnade , charbonnier est maitre chez lui .
    encore un bel article

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  3. C'est qu'un flic français, en pareil cas, n'aurait jamais osé prier la conductrice de descendre. Les emmerdes étant ce qu'elles sont, je cois qu'il se serait contenté d'un "ça va pour cette fois" qui l'eût mis a l'abri de retombées déplaisantes.
    Et j'espère que M. Bedos et ses potes se feront grâce à vous beaucoup de nouveaux amis!
    Amitiés.

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    1. kobus van cleef13 août 2015 à 14:38

      ha , bedos....
      bedos , comme bitos , autrement dit chapeau
      mais que chapeaute-t-il , ce bedos là ?
      qui chapeaute-t-il , cet homme ?
      nous?
      nous , nous serions chapeauté par un bedos? un bitos , blanchon qui voulait voir crever nos chers amis de chérie abdo?
      à moins qu'il en aie trop fumé , de bedos , précisément ? trop fumé et donc , trop inféré?

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