Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

mardi 1 novembre 2016

Dispute dans le bac à sable des bobos.




La fine fleur des élites bobos islamo-gauchos de la médiocratie médiatique au pouvoir, nous donne actuellement le spectacle affligeant et pitoyable de sales gosses se disputant dans le bac à sable.

A ma droite (si l'on peut dire...), la nouvelle coqueluche du PAF, la dernière en date des créatures du milieu judéo-maçonnique, qui sévit sur C8 avec l'émission phare « Touche Pas à Mon Poste ». L'expression « phare » est en l'occurrence largement outrancière, car on ne peut pas dire que l'émission en question brille en quoi que ce soit, si ce n'est en bêtise et en vulgarité. Saucisson-Pinard nomme ici, Hanouna, le bédouin dont le niveau d'humour frise le zéro absolu. Quand on regarde ne serait-ce que 5 minutes de ce spectacle, c'est l'image d'une conduite d'égout se déversant sur un public analphabète, qui vient immédiatement à l'esprit.

A ma gauche, et là pour le coup, l'expression est appropriée, nous avons la synthèse de la bien-pensance boboïde, le donneur de leçons, le moralisateur du milieu gauchiard, le pourfendeur de la classe bourgeoise, j'ai nommé Stéphane Guillon.

Figurez-vous que nos deux compères étaient à une époque, copains comme cochons, chacun commençant à creuser son sillon dans le monde merdiatique, se côtoyant sur la chaîne Comédie. C'est là qu'ils commencèrent à forger, chacun à sa manière, une image de prétendus humoristes. Leur style personnel est certes différent l'un de l'autre, mais au moins ils se rejoignent sur deux points: aucun des deux n'est vraiment drôle mais chacun a une haute idée de lui-même. L'un déclenche le rire graveleux du bidasse boutonneux de base, l'autre le ricanement hautain. L'un se croit comique mais n'est que pathétique, l'autre s'estime méchamment cruel alors qu'il n'est que cruellement crétin et conventionnel.

Leurs chemins se séparent alors et seul le boursoufflement progressif de leur ego réunit encore les deux protagonistes.

Et puis en ce mois d'octobre, c'est le drame. Hanouna, qui ne se sent décidément plus, pousse la mégalomanie jusqu'à se donner comme mission de mener une émission 35 heures d'affilée. Bien évidemment, la « performance » ne présente strictement aucun intérêt, si ce n'est de « faire le buzz », ce dernier refuge en date des dépourvus de talent quelconque, qui cherchent à compenser leur insuffisance par une provocation destinée à leur conférer une gloire aussi éphémère qu'une bulle de savon. 
Ce triste clown va jusqu'à imposer au téléspectateur qui serait venu s'égarer par hasard sur sa chaîne, le spectacle de son sommeil, ronflement compris, pendant une petite heure. Croire ne serait-ce qu'une fraction de seconde que la contemplation de ce rondouillard crasseux en train de dormir puisse intéresser quelqu'un pourvu d'un cerveau, témoigne que l'individu a une tête aussi grosse qu'une montgolfière. Aussi grosse, et aussi vide.

Sans doute fatigué par sa « performance », l'amuseur des téléspectateurs bas de plafond qui suivent ses émissions, se met à afficher publiquement, à court probablement d'idée, dans une de ses prestations, le salaire de différents animateurs d'émissions concurrentes. Et parmi ceux-ci, celui de Guillon, l'ex-chroniqueur de France-Intox dont Sarkozy avait réussi à débarrasser la radio d'Etat.

Ce salaire est de 10 000 € par émission de « Salut Les Terriens ». En réalité, c'est 10 000 euros pour une chronique de 2 minutes dans l'émission sus-nommée. Soit 40 000 euros par mois au bas mot. Dans le groupe « Anal + » dont fait partie la chaîne C8, on adore donner des leçons de bien-pensance et de moralité aux petites gens, mais on ne va pas jusqu'à partager leurs soucis pécuniaires, comprenez-vous ? 40 000 euros mensuels, c'est l'équivalent de 36 mois de SMIC net pour 8 minutes d'antenne mensuelle à partager ses hautes pensées et opinions personnelles que l'auteur estime probablement spirituelles. Pas mal pour un pourfendeur auto-proclamé de la bourgeoisie...

Mais, voyez-vous, on a beau jouer les révolutionnaires de gauche, on n'en reste pas moins un beauf bien franchouillard pour lequel parler pognon est bien tabou. Surtout quand c'est pour informer son public d'enseignants gauchistes que le révolutionnaire en question se fait des coucougnettes en or sans vraiment risquer la hernie ni la congestion cérébrale. Guillon n'apprécie donc pas la divulgation de ses revenus. Mais alors, il n'apprécie pas du tout !

Il envoie donc d'abord sa blonde au front, Muriel Cousin, une autre bobo qui a sévi aussi sur France Intox et qu'il a épousée comme seconde main. Selon elle, « Hanouna ressemble à Trump depuis qu'il a avalé du Bolloré ». Hanouna ressemblant à Trump ? Comprendra qui pourra. Peut-être est-ce juste une façon de bien faire comprendre, au passage, qu'elle est dans le camp du bien, c'est-à-dire anti-Trump ? Peu importe. Les couinements de l'ex-faire-valoir de Dechavanne dans « Coucou, c'est nous » n'ont pas toujours été audibles.

Puis la dispute se poursuit par des tweets vengeurs de Guillon l'offensé. Car quand on est un courtisan de la bien-pensance ayant pignon sur rue dans les médias, on est forcément convaincu que ses petits pets de travers passionnent au plus haut point le bas peuple. Lors, au lieu d'écrire une missive personnelle à son contradicteur pour « s'expliquer » d'homme à homme, on étale au vu et su de tous son acrimonie. 

Hanouna, le guignol de C8, qui pense que sa gloire médiatique l'autorise à considérer les plateaux des émissions de collègues comme des extensions de son propre salon, se permet d'intervenir en plein tournage du « Grand Journal » pour « rencontrer Guillon et  lui faire un bisou ».
Avec la même boursouflure de l'égo que son ennemi intime, il lui est évident que la France profonde doit être la témoin privilégiée de son différend avec le chroniqueur de « Salut les Terriens ».
Guillon n'écoute alors que son courage. Malheureusement, celui-ci est probablement en RTT ce jour-là et Guillon opte plutôt pour la poudre d'escampette, et quitte subrepticement le plateau. En fait de coucougnettes en or, c'était l'occasion de montrer qu'il en avait de vraies, mais que voulez-vous ? C'est une chose que de manier la critique à l'abri derrière son micro ou son clavier, c'en est une autre que d'affronter un contradicteur en face à face.

A la lecture de ces passionnantes péripéties dont nos merdias du petit écran se repaissent et nous abreuvent, on se dit juste que ces sales marmots mériteraient juste une bonne fessée et d'être expulsés du bac à sable une bonne fois pour toutes.
Il est vrai que Bolloré, Président du Conseil de Surveillance de C8, a d 'autres chats miteux à fouetter, avec la fronde que son pédophile d'animateur a levé sur I-télé...

Voilà l'ambiance dans le paysage audio-visuel d'un pays dont les élites auto-proclamées ne perdent jamais une occasion de vanter « l' exception culturelle » et revendiquer sa protection.

Pauvre France ! Qui la sortira de cette fange, qui partout la submerge?

vendredi 14 octobre 2016

Sauvageons et réprimande.



Le sinistre de l'Intérieur Cazevide nous en a sorti encore une bien bonne cette semaine. La quinzaine de racailles qui a mené un guet-apens et mis le feu à deux voitures de police à Viry-Châtillon avec les flics à l'intérieur, avec la ferme intention de les y brûler vifs, sont juste, selon lui, des « sauvageons ». On a bien entendu ses propos sur RTL : des « sauvageons ». 

Voilà qui doit faire plaisir à tous les flics de France et de Navarre qui sont sous sa responsabilité. Ils risquent chaque jour leur vie en côtoyant des « sauvageons ». Dire qu'ils pensaient avoir affaire à de dangereux et sanguinaires criminels! Non, à de simples sauvageons. Ouf, les voilà rassérénés.

Il est donc possible dans la France socialiste de 2016 d'avoir un représentant de l'Etat en charge de la sécurité des Français, responsabilité parmi les plus lourdes qui soient, complètement dépourvu de lucidité ou doté d'un cynisme tel, qu'il se permet d'appeler « sauvageons » une bande d'immondes assassins agissant avec préméditation. Les socialauds nous auront décidément tout fait. Et, pire, ils osent tout.

Si jeter des cocktails molotov dans des voitures de police occupées par les forces de l'ordre, c'est faire un acte de sauvageons, comment Cazevide qualifierait-il les djihadistes qui ont commis le massacre des innocents du Bataclan ? des canaillous ? des chenapans ?

Examinons de plus près le cas Zeneuve. Voilà un ministre de l'Intérieur qui compte, depuis qu'il est en fonction, plus de deux cents cinquante morts pour cause de terrorisme, - excusez du peu- et qui détient le record inégalé du nombre d'homicides pour cause de délinquance dans tout le pays et notamment à Marseille; Un ministre qui se permet de rire ouvertement, dans Notre-Dame de Paris, au beau milieu de l'hommage solennel rendu à un prêtre égorgé par deux arabes pendant sa messe; Un ministre qui déclare que prôner le djihad n'est pas un délit ; Un ministre qui accueille et serre la main de clandestins qui bafouent les lois relatives à l'immigration ; Un ministre qui se vante, sans rire (cette fois!), d'avoir fait reconduire aux frontières quatorze (!) clandestins sur les dix mille que compte la jungle de Calais; Un ministre qui aujourd'hui donne aux assassins des policiers placés sous son autorité, le nom qui désignerait, par exemple, un gamin qui s'amuse à appuyer sur les boutons de sonnettes d'immeuble avant de se sauver en courant.

On croit à chaque fois avoir touché le fond avec ce gouvernement de Hollande Ouille, mais il y a toujours un ministre qui s'avance sur le devant de la scène médiatique et se met à creuser davantage. Aujourd'hui, c'est Cazevide avec ses sauvageons. Demain, cela sera Mari-sotte Touraine qui inaugurera une salle de shoot avec le regard allumé qui laisserait penser qu'elle a inauguré aussi les seringues... Après-demain, cela sera un ou une autre ministre qui tentera de repousser toujours plus loin les limites de l'incompétence, du laxisme, du ridicule et de la stupidité...

Un chef de gouvernement digne de ce nom, aurait dû, a minima, limoger Cazevide dès sa sortie des locaux de RTL. Et présenter ses excuses auprès de toute la corporation policière. Au lieu de cela, que fait le Petit Caudillo, à l'imagination si féconde ? Il nous sort des idées à la Géo Trouvetou :
Les flics sont caillassés ou reçoivent sur le crâne des machines à laver lancées par les fenêtres de hauts étages ? Qu'à cela ne tienne : il va équiper les véhicules de police de protection anti-caillassage.
Ils sont brûlés par des cocktails molotov ? Pas de problème. Il va les doter d'une combinaison ignifugée. Voilà tout ! C'est tellement simple, la politique avec les socialistes !
Et si les racailles se mettent à noyer les agents de police? Que décidera-t-il ? De les habiller d'une combinaison étanche avec bouteille d'oxygène ?
Où s'arrêtera donc cette course à l'échalote ?

Saucisson-Pinard a une solution bien plus efficace contre la délinquance, plus confortable pour les forces de l'ordre, et bien moins onéreuse pour le contribuable.
Cette solution tient en quatre mots : « tirez-dans-le-tas » ! Messieurs les flics, si vous êtes menacés, tirez dans le tas, à volonté. Vous êtes couverts par la légitime défense de représentant de l'ordre en danger. Telles devraient être les consignes données aux forces de l'ordre. Pour "morigéner" les "sauvageons". D'autant plus, lorsque le pays est en état d'urgence.
Efficace car les racailles ainsi éliminées seraient à coup sûr exemptées de risque de récidive.
Efficace parce que ça allègerait les procédures judiciaires, désengorgerait les tribunaux, libèrerait des places de prison.
Efficace parce que l'effet dissuasif serait réel.
Confortable pour les forces de l'ordre car elles n'auraient pas à se trimbaler avec une armure tout en étant bien moins menacées.
Et bien plus économique pour le contribuable pour toutes ces raisons.

Enfin, Saucisson-Pinard estime que le simple limogeage de Cazevide serait une mesure bien trop clémente à son goût. Il proposerait volontiers une exposition de l'individu en place publique, baissé et le pantalon sur les chevilles. Chacun des parents des victimes du Bataclan et chaque flic du commissariat de Viry-Châtillon pourrait à tour de rôle flanquer un grand coup de pied bien placé au cynique et incompétent ex-ministre pour lui apprendre la précision dans le maniement de la langue française. Cela serait un modeste mais néanmoins salutaire exutoire pour les exécutants. Et pour adopter le vocabulaire à la mode Cazevide, on appellerait ces réjouissances une « réprimande ».

Au passage, il est permis de trouver bizarre cette affaire du carrefour de Viry-Châtillon. Bizarre ou simplement révélatrice du fiasco socialiste en matière de sécurité intérieure. Car si on a bien suivi les descriptions médiatiques de la scène, on comprend qu'il s'agit d'une histoire de voiture de flics qui surveillent une voiture de flics qui surveillent une caméra... de surveillance ! Et on apprend que cela fait des mois et des mois que ce carrefour a patiemment acquis sa réputation de coupe-gorge. Des mois et des mois ! Et au terme de tout ce temps, les Autorités, police et Justice combinées, n'ont trouvé qu'une chose à faire, c'est de faire surveiller une caméra de surveillance par deux voitures de police !
On est dans un film de Tati ou quoi ?

Il faudra vraiment se souvenir de tout cela aux prochaines présidentielles et législatives et se débarrasser pour de bon de tous ces tristes et dangereux pieds-nickelés, à défaut de pouvoir leur infliger la "réprimande" évoquée ci-dessus.



mardi 4 octobre 2016

Historiette socialiste.





- Allo, Monsieur Tribuable, bonjour, c'est Monsieur Boursin à l'appareil!
- Ouais, qu'est-ce qu'il y a ?
- Je vous appelle, parce que j'ai quelques problèmes financiers actuellement...
- Ecoutez, j'ai pas le temps de vous écouter, j'ai une inauguration à faire... Au revoir.
- Ah? Bon...

Quelques jours plus tard...

- Monsieur Tribuable ? Bonjour ! Je suis Monsieur Boursin...
- Ouais, qu'est-ce qu'il y a ?
- Ben voilà, j'ai des problèmes financiers en ce moment, et je ne suis pas sûr de pouvoir vous payer votre loyer à la fin du mois...
- Ecoutez, j'ai pas le temps de vous écouter, j'ai une commémoration à faire, là... Au revoir.
- Ah ? Bon...

Quelques jours plus tard...

- Monsieur Tribuable ? Bonjour ! C'est Monsieur Boursin à nouveau.
- Ouais, qu'est-ce qu'il y a ?
- Vous savez que je vends des fromages aux fromagers de la place, pour gagner ma vie. Et en ce moment, mes clients fromagers me disent qu'ils n'ont pas besoin de fromages, car ils en ont déjà suffisamment en stock.
- Et alors, qu'est-ce que vous voulez que ça me foute ?
- Ben comme vous êtes mon propriétaire, j'avais pensé que ma situation financière devait vous intéresser...
- Ecoutez, j'ai pas le temps de vous écouter davantage, je pars en déplacement pour rendre un hommage... Au revoir.
- Ah ? Bon...

Quelques jours plus tard...

- Allo, Monsieur Boursin ? C'est Monsieur Tribuable à l'appareil !
- Bonjour Monsieur Tribuable ! Comment allez-vous ?
- Eh, pas bien justement ! Qu'est-ce que j'apprends ? Vous ne pourrez pas me payer votre loyer ce mois-ci ?
- Ben, non, c'est ce que j'ai tenté de vous dire à plusieurs reprises, mais vous étiez « occupé », semble-t-il...
- Bon, bon, mais dites-moi, pourquoi vous ne pouvez pas me payer mon loyer à la fin de ce mois ?
- Ben, comme je vous le disais, je ne peux plus vendre mon stock de fromages, parce que mes clients fromagers en ont déjà trop en stock et ne m'en achètent plus.
- Bon, il faut absolument que vous me payiez mon loyer, hein, pas de blague. Et la fin du mois, c'est demain... Alors, écoutez, Monsieur Boursin, je vous rachète votre stock de fromages.
- … !
- Allo ? Boursin, vous êtes encore là ?
- Euh, oui, je me demandais... si j'avais bien compris. Vous m'achetez tout mon stock de fromages, juste pour que je puisse payer votre loyer ?
- Ben oui, Monsieur Boursin.
- Mais, Monsieur Tribuable, mon stock de fromages, il est bien plus cher que le loyer...
- Vous en faites pas, je gère...
- Et qu'est-ce que vous allez faire de mes fromages ? Vous n'êtes pas fromager ! Et les fromagers de la place n'en ont pas besoin...
- T'occupe. C'est pas ton problème. Je gère...
- Bon, si vous « gérez », alors, tout va bien... Au revoir, Monsieur Tribuable...

Après avoir raccroché :

- Mais qu'il est con, Tribuable !



                                                         Avec dans les rôles principaux :

Monsieur Boursin : …................Alsthom Belfort.
Les euros du loyer : …..................les électeurs de Belfort et les couillons de gauche en général.
Les fromages : ….........................les locomotives, rames de train, wagons, TGV etc...
Les fromagers : …........................la SNCF
Monsieur Tribuable : …..............Hollande Ouille, ou... le contribuable, au choix, c'est à dire toi, lecteur.


Vous ne la trouvez pas drôle, cette historiette ? Bah, non. Saucisson-Pinard ne vous a jamais dit qu'elle était drôle !

En fait, ce n'est pas une comédie, c'est un drame. Le drame de l'imbécillité et de l'incurie socialistes.

lundi 3 octobre 2016

Elections américaines : l'enfumage des médias français.



«Vous n'êtes pas dans la tête de Trump, et je ne sais pas si je vous le souhaite, d'ailleurs, mais ...»

Voilà le commentaire que s'autorise le journalope de I-télé animant l'émission consacrée au premier débat entre Clinton et Trump ce 27 septembre, en s'adressant à une chroniqueuse ayant suivi plus particulièrement la campagne du magnat new-yorkais. Bonjour la neutralité qui serait de mise chez un vrai politologue. Pour sa part, un Saucisson-Pinard journaliste, rêverait au contraire, s'il devait interviewer un homme politique, pouvoir être dans sa tête : pour le cerner au mieux! Eh bien, pas un journaliste de I-Télé, apparemment ! Pas curieux, le clampin.

Quand on voit avec quelle partialité la Presse française dans son ensemble traite l'adversaire de la Clinton depuis le début de cette campagne électorale américaine, on ne devrait pas être étonné de cette décontraction avec laquelle ce prétendu journaliste se permet d'afficher ainsi sa préférence.

Le décor était planté: on allait assister au débat entre « Hillary » la Démocrate (située à gauche, donc honorable), amicalement désignée par son prénom, et « Trump », le Républicain (de droite, donc méprisable). Ce n'était donc pas un débat entre Hillary et Donald, ni entre Clinton et Trump, mais bien entre la sympathique Hillary, et cet individu appelé Trump.

Il est amusant d'ailleurs de constater que le parti-pris de la Presse française, affiché très tôt dans cette campagne électorale, fait davantage de l'anti-Trump que du pro-Clinton. Faute sans doute de trouver beaucoup d'arguments en faveur de l'ex-secrétaire d'Etat, elle se borne à un dénigrement anti-Trump systématique.

Il y a quelques semaines, une journalope de BFM était censée faire le compte-rendu d'un meeting de Trump. L'attentive professionnelle de cette chaîne d'info en continu, qui a tant fait preuve jusque là de sa fidélité au politiquement correct en France comme à l'étranger, racontait que « lors de son discours consacré à sa politique économique, Trump s'était interrompu, agacé par les pleurs d'un bébé dans la salle, et avait demandé à ce que ce dernier soit sorti pour pouvoir poursuivre son allocution. »
Voilà tout ce que la « journaliste » de BFM avait retenu d'un discours de plus de deux heures. On en saura pas plus, ce jour-là sur BFM, sur le programme économique du candidat républicain... Merci BFM TV, pour ce passionnant reportage.

Evidemment, quand, à l'instar d'une obscure chroniqueuse d'un autre site autre de (dés)information, on s'extasie sur la « coolitude » d'un Obama prenant un bébé anonyme dans ses bras avec le sourire attendrissant de circonstance, on ne peut pas s'intéresser au fond du programme économique d'un postulant à la présidence d'une des plus grandes puissances mondiales. Surtout si ce postulant est anti-establishment, anti-Pensée Unique et remet en question la politique désastreuse du chouchou des médias.
Pas un journaliste français de la bien-pensance dominante, ne s'aventurera à reconnaître trop ostensiblement, par exemple, que la dette publique des USA sur les deux mandats du showman noir qui fait office de président, a atteint celle, cumulée, de tous les présidents de l'Histoire américaine, de Georges Washington à Bush Jr compris... Excusez du peu.

Donc quand une ex-secrétaire d'Etat est adoubée par un si performant président, et est, de plus, en partie responsable de sa funeste politique étrangère, que fait la Presse française ? Elle la soutient, bien sûr. Que le retrait prématuré de l'armée américaine d'Irak et d'Afghanistan décidé par Obama et sa politique en Syrie, aient entraîné le retour des talibans jusqu'à Kaboul d'une part, et provoqué l'apparition et le développement de Daesh d'autre part, sera bien évidemment occulté par nos médias amnésiques.

Bref, pour que rien ne change aux Etats-Unis comme en France, il faut impérativement prendre fait et cause pour ceux qui assureront le statu-quo : Ali Juppépé en France, et la cornue Clinton aux USA. Et il convient de tirer à boulets rouges sur ceux qui représentent un espoir de renouveau et de vrai changement : Le Pen ou Dupont-Aignan, par exemple, en France, et Trump aux Etats-Unis. Nos serviles médias dévoués à la cause islamo-gaucho-mondialiste s'y emploient avec zèle.

Après un tel matraquage anti-Trump et une telle indigence dans l'examen des cursus et des programmes des deux candidats à la présidentielle américaine, que peut bien retenir le pékin français moyen? Rien, aucune donnée objective.

Mais l'AFP est toute fière d'annoncer que si l'élection avait lieu en France, 86% des votants se prononceraient en faveur de la Clinton. Un score de république bananière en quelque sorte. Et c'est normal. Quand on a une Presse de république bananière, on a une élection de république bananière.
Si la Presse française avait fait son travail en toute impartialité, un sondage aurait montré un score bien plus serré, à l'image de ce qui se passe aux Etats-Unis. Peu importe que cela soit avec une courte avance de l'un ou de l'autre candidat. On connait la marge d'erreur des sondages d'opinion.

Il y aurait aussi à redire, bien sûr, sur l'objectivité des médias américains dans cette campagne présidentielle. Après tout, là-bas comme ici, le quatrième pouvoir fait partie de l'establishment, secoué par Trump. Toutefois, en regard de ce à quoi on assiste sous notre dictature socialiste, la Presse américaine a quand même une sacrée leçon de professionnalisme à dispenser à nos journaleux dignes de la Pravda de l'époque soviétique.

Les bonnes questions sont: parmi ces sondés, combien sont suffisamment à l'aise avec la langue de Shakespeare pour avoir accès aux médias américains ? Combien ont regardé en direct ou en différé l'intégralité du premier débat entre Trump et Clinton ? Combien ont eu la curiosité de s'informer du programme des deux candidats, sans le filtre déformant de nos médias ? Bref, il est clair que l'AFP se félicite d'un sondage opéré sur des personnes qui ne savent absolument pas de quoi elles parlent. Que ce sondage n'ait aucune crédibilité importe d'ailleurs assez peu pour l'agence de Presse française. Il lui suffit qu'il serve d'outil de manipulation des masses.

Au sujet de ce débat justement : combien de Français se sont aperçus de l'escroquerie médiatique française qui a conclu hâtivement à la « victoire » de la Clinton en se basant sur l'unique sondage de CNN réalisé juste après le débat ? Alors que les sondages de Drudge Report, The Rightscoop, Time, Fox 5, NJ True Jersey, Breitbart, CBS New York, The Hill, Heavy, Atlanta Patch, Pix ont tous donné Trump gagnant ?

Si jamais Trump remportait finalement cette élection, est-ce que nos merdias n'auraient pas l'air foutrement couillon ?
Ça ne serait d'ailleurs pas la première fois qu'ils se couvriraient de ridicule au lendemain d'une élection présidentielle américaine. Saucisson-pinard a le souvenir de ce qu'il était advenu en 1980. Nos médias, déjà très gauchisants à l'époque – ça ne s'est pas arrangé depuis, en dépit de la dégringolade subie par le pays après quarante années de politique socialisante- n'avaient pas eu de mots assez condescendants à l'égard de Ronald Reagan,« cet acteur de série B ». Ils avaient fait montre d'une arrogance et d'un mépris sans borne, en oubliant presque que le candidat républicain avait été aussi gouverneur d'un Etat dont le PIB dépassait celui de la France, la Californie. Et Reagan a gagné les élections, et mené une double mandature avec réussite, tant en politique intérieure qu'à l'internationale. Quant aux Français, ils élisaient six mois plus tard, le Mythe Errant, avec les conséquences dont on paye encore aujourd'hui, trente cinq ans plus tard, le prix...

Toujours dans l'hypothèse où Trump deviendrait le quarante-cinquième président des Etats-Unis d'Amérique, Saucisson-Pinard se délecte d'avance de voir la couleuvre – le boa, plutôt- que devrait avaler Hollande Ouille, pour transmettre ses félicitations diplomatiques d'usage à celui qui, a-t-il déclaré avec sa pitoyable et imprudente maladresse habituelle, « lui donne des hauts-le-coeur »...

lundi 19 septembre 2016

Cauchemar.




Hollande Ouille a ajouté à la longue liste des calamités dont il a accablé le pays, d'avoir fait passer une très mauvaise nuit à Saucisson-Pinard.

Etait-ce le discours de Wagram que le présidenticule a fait ce 8 septembre en laissant penser à la cour médiatique servile qu'il s'agissait d'une annonce de candidature à la prochaine présidentielle, ou était-ce cette blanquette de veau servie au dîner qui ne passait pas, toujours est-il que Saucisson-Pinard eut du mal, ce soir là, à trouver le sommeil.

Tout au long de la soirée, il s'était dit que, décidément, Hollande Ouille multipliait les signes d'un manque de lucidité quasiment pathologique. D'abord en croyant qu'il était capable de remplir la fonction présidentielle, en se présentant comme candidat en 2012, alors qu'il n'avait jusque là, montré aucune qualité en quoique ce soit. Puis en ne s'apercevant pas à quel point il était ridicule aux yeux de tous, dans cet exercice. Et enfin en espérant pouvoir être réélu alors qu'il bat, haut la main, tous les records d'impopularité. Comment peut-on être autant déconnecté des réalités ? se demandait Saucisson-Pinard. Il se drogue ? Dans quel pays imaginaire vit-il ? Dans sa tête, se voit-il en Père Noël, dopé au Prozac, et habitant à Disneyland ?

Et puis tout d'un coup, Saucisson-Pinard se trouva devant son écran télé. Médusé, il regardait un reportage en direct sur France 2. La voiture noire présidentielle de Hollande roulait, découverte, sur les Champs-Elysées, à très petite vitesse, au milieu des hourrah et des vivas. Une foule en liesse hurlait sa joie. La police, débordée, avait fort à faire pour contenir des milliers de badauds qui se pressaient gaiement autour de la voiture présidentielle. La Marseillaise chantée à tue-tête saluait le passage du véhicule.

Non, ce n'était pas possible, se disait Saucisson-Pinard. Etait-on déjà au lendemain du second tour de la présidentielle de 2017 ? Non, les Français n'ont quand même pas réédité leur connerie de 2012 ? Non, dites-lui que ce n'est pas possible... !

Saucisson-Pinard était trempé de sueur, livide.

Les caméras de la régie de France 2 zoomaient sur certaines personnalités présentes aux abords du cortège. On voyait très distinctement la Tartine au Brie quasiment hilare. Au passage, Saucisson-Pinard apprit ce que la maire de Lille faisait de ses vieux vêtements : elle les mettaient.
Un gros plan montrait le ministre de l'Intérieur Cazevide, généralement plutôt austère, arborer un large sourire. Saucisson-Pinard se surprit à remarquer, qu'après l'hommage, en Notre-Dame de Paris, rendu au prêtre de Saint-Etienne du Rouvray assassiné par ces deux racailles arabes, c'était juste la deuxième fois qu'il le voyait rire...

Des plans plus larges survolaient « la plus belle avenue du monde » où grouillait une foule exultante, brandissant des drapeaux bleu blanc rouge. On distinguait dans le tintamarre des klaxons, des cris de joie et des pétards, des slogans d'espoir : « tout ira mieux maintenant ! » proclamaient des pancartes. Des farandoles se formaient spontanément. Il y avait même des gens qui dansaient.

Saucisson-Pinard n'en croyait pas ses yeux et ses oreilles. Comment les Français pouvaient-ils être cons à ce point ? Alors que tous les 14 juillet du quinquennat avaient vu le passage du présidenticule Flanby ponctué de sifflets et de quolibets, Saucisson-Pinard était incrédule devant le spectacle que lui offrait le service public de France 2.

Puis soudain, une caméra zooma sur la voiture noire présidentielle.
Saucisson-Pinard se détendit d'un coup : un cercueil trônait sur la plate-forme arrière, avec les lettres FH dorées sur le couvercle. Avec un profond soupir et un sourire béat aux lèvres, Saucisson-Pinard cessa de se crisper sur ses draps, et trouva enfin, apaisé, un profond sommeil...

mercredi 31 août 2016

Le burkini? que des avantages!



Non, cette image n'est pas tirée du film "Sauvez Willie"...

Saucisson-Pinard a du mal à comprendre la position de nombre de sympathisants du même bord politique, qui s'offusquent du risque d'invasion de burkinis sur nos plages.
Car si on y réfléchit, cette provocation – car il est bien évident que c'en est une – ne présente que des avantages.
Suivez son raisonnement.

Tout d'abord, le port du burkini n'est ni plus ni moins que la revendication d'un refus officiel d'intégration, a fortiori d'assimilation. La moukère ainsi affublée de pied en capuche porterait une pancarte « Je suis arabe et en tant que telle, je refuse de m'intégrer dans la société française », elle ne serait pas plus claire. 

Et cette déclaration a deux vertus. Tout d'abord elle apporte un démenti formel aux litanies habituelles de nos « progressistes » immigrationnistes qui, décennies après décennies, s'obstinent à vouloir faire croire que l'immigration arabe est exactement comparable aux immigrations qui l'ont précédée ; espagnole, portugaise, italienne, polonaise etc... et qu'en conséquence, cette population exogène finira par se fondre dans le paysage multiculturel de la société française. Le port du burkini montre donc aux Français qui en douteraient encore, que l'idéologie médiatiquement dominante cherche à les enfumer d'une idée contredite en permanence par ce qu'ils voient dans la réalité quotidienne.

En corollaire, le burkini est donc un excellent argument pro-FN.


Le deuxième avantage à laisser les muzz se déguiser ainsi, est de montrer aux Français que le concept de Grand Remplacement devient une réalité.
Imaginons le Français résidant habituellement dans un quartier ou une région encore relativement indemne de cette invasion musulmane. Il pourrait croire que le Grand Remplacement est un fantasme véhiculé par une « extrême-drouate » raciste et xénophobe, comme-ils-disent-à-la-télévison-et-à-la-radio-et-dans-les-journaux. Mais s'il constate que la plage de la petite station balnéaire où il a l'habitude, années après années, de se rendre pour y passer ses vacances, et qui est pour lui, tous comptes faits, la seule occasion de sortir de son lieu de résidence, est peu à peu envahie d'arabes arborant ces burkinis, il commencera à comprendre que ce qui se murmure ici où là n'est finalement pas dénué de fondement. Il deviendra à son tour témoin de ce que vivent de nombreux compatriotes moins préservés que lui.

Bref, cette exposition de burkinis peut être le catalyseur d'une prise de conscience du Français (de souche) de toute origine géographique, qui finira fatalement par avoir une répercussion sur ses choix politiques futurs...

Les Nazis avaient imposé aux Juifs d'arborer une étoile jaune afin que les Allemands prennent conscience de la présence importante dans leur vie de tous les jours de cette communauté, en dépit de sa discrétion. D'une certaine façon, les burkinis et autres provocations vestimentaires de cet acabit sont les étoiles jaunes que les musulmans s'infligent à eux-mêmes. En revendiquant de façon aussi ostentatoire les signes arriérés de leur communauté, les muzz s'imaginent malins alors qu'en fait, ils dénoncent de façon spectaculaire leur présence, hypothéquant du même coup leur approche du pouvoir. Paradoxalement, en portant le voile, la femme musulmane, n'avance pas masquée pour mieux s'approcher discrètement du cœur de la société française, mais au contraire se distingue comme une mouche dans le lait. Du point de vue du Français victime de l'invasion, il aurait été pire que l'envahisseur s'impose en toute discrétion, à son insu. Un Tarik Ramadan habillé à l'occidentale est plus dangereux qu'un imam de Brest barbu, en djellaba et babouches.

Le troisième avantage du burkini réside dans son inconfort. Pour le vacancier français (de souche), allongé sur sa serviette, qui se laisse caresser le corps nu, par les rayons du soleil et le vent, observer une muzz transpirante dans sa camisole, puis quand elle sort de son bain de mer, essayer de sécher en gardant un vêtement mouillé, lourd, imprégné de sel et de sable qui gratte, le spectacle est plutôt jouissif. Franchement, entre lui qui regarde, goguenard, et elle qui subit son burkini, ce n'est pas lui qui souffre le plus !

De plus, d'un point de vue esthétique, le burkini a aussi un avantage non négligeable. Saucisson-Pinard ne sait pas si vous avez remarqué, mais les porteuses de burkini sont très rarement des prix de beauté. La plupart du temps, la moukère a forcé sur le loukoum et est plutôt ventripotente. On peut dire que le burkini nous épargne une vision pas forcément enchanteresse... Quand on pense que le musulman s'imagine préserver « l'honneur » et la vertu de sa musulmane en l'affublant d'un tel sac, il y a de quoi rigoler. Le plus souvent, on pourrait le rassurer : la vertu de sa moukère, en burkini ou sans, ne craint rien. Comme Brassens le chantait dans "Le Gorille", « qu'on puisse encore la désirer, ça serait extraordinaire, et pour tout dire, inespéré... »

Et enfin, le positivisme et le pragmatisme de Saucisson-Pinard lui font considérer que les risques de noyade de la muzz provocatrice, emmitouflée dans un vêtement alourdi d'eau, sont plus importants qu'en maillot deux-pièces. Sans compter qu'on trouverait plus de volontaires pour se jeter à l'eau et se porter au secours d'une blonde en bikini qu'à celui d'un sac poubelle dérivant entre deux eaux.

Le burkini ? Que des avantages, on vous dit !

samedi 6 août 2016

Braderie de Lille : il est urgent de brader les cervelles socialistes !


Cervelle socialiste: y a quelque chose qui bloque!


Ainsi donc, Tartine au Brie inflige une fois de plus à ses concitoyens les conséquences de son inaptitude à prendre des bonnes décisions : elle annule purement et simplement la grande braderie de Lille de septembre! Rassurez-vous cependant, les grandes braderies des valeurs françaises et du patrimoine français, elles, se poursuivent.

Le pouvoir socialiste en place nous fait la démonstration, comme s'il en était encore besoin, de son incompétence à assurer la sécurité des Français. Car interdire la braderie de Lille au motif que Tartine et le préfet des « Hauts de France » (mais lui-même « bas de plafond ») ne veulent pas, assurent-ils avec gravité, avoir sur la conscience le moindre blessé ou le moindre mort du fait d'attentat, ce n'est pas assurer la sécurité. C'est juste empêcher leurs concitoyens de vivre normalement précisément parce qu'ils sont incapables, l'un et l'autre, de faire leur job. A ce compte-là, ils n'ont qu'à confiner les Français dans leurs habitations avec interdiction de sortir, et ils auraient la satisfaction du devoir accompli, ces deux jobards.
Ce préfet est un capitaine de paquebot qui préfère rester à quai parce qu'il s'estime trop incompétent pour sortir en mer.

- Hé, la Tartine au Brie, il est bien temps d'y penser, à la sécurité de tes concitoyens, après avoir milité toute ta vie pour l'invasion maghrébine, pour la permissivité envers la pratique de leurs coutumes d'un autre âge, pour le laxisme envers leur délinquance ! Tu trouvais « génial qu'il y ait 35% de maghrébins, parce que ça » t' « emmerde quand tout le monde est pareil...» Et aujourd'hui, tu viens décider de priver les Lillois de leur braderie et les commerçants de ta ville de 20 à 30% de leur chiffre d'affaire annuel, parce que, du fait de ton incurie, tu te trouves dans l'incapacité de contrer des attentats perpétrés par ceux-là mêmes que tu as protégés durant des années ?

Mais qu'est-ce que vous avez donc dans la cervelle, vous autres les socialistes, qui vous empêche de raisonner correctement ? Qu'est-ce qui fait que vous êtes pathologiquement limités à tenter maladroitement de faire face aux conséquences des problèmes mais totalement incapables de vous attaquer à leurs causes ?
Un plombier socialiste est un type qui confronté à l'inondation d'un appartement, s'attache à surélever les meubles, éventuellement étale des serpillères au sol, mais néglige d'aller couper l'arrivée d'eau en amont et de colmater la fuite.

Est-ce une déviance d'ordre psychiatrique ? Souvenez-vous, la Tartine au Brie nous avait déjà manifesté cette carence intellectuelle en décrétant les 35 heures. Le raisonnement était du même tonneau. On part du principe que s'il y a du chômage, c'est parce qu'il n'y a pas assez d'emploi. Mais au lieu de s'attacher à créer des emplois, la Tartine et les socialos n'ont pensé qu'à partager le chômage : d'où la baisse du nombre d'heures travaillées hebdomadaires. Ils se sont attaqués aux conséquences du problème, pas à sa cause.
Le gâteau est trop petit pour nourrir tout le monde? Si on essayait de faire un gâteau plus gros ? Ah bah, non, répond le socialo. Réduisons les parts, plutôt !
Il faudrait ouvrir la cervelle d'un socialiste pour voir ce qu'il s'y passe. Il doit y avoir un court-circuit quelque part. Ou un engrenage grippé. Non ? Une pièce manquante, alors ? Il y a quelque chose qui cloche, en tous cas.

La braderie de Lille 2016 est supprimée pour la première fois depuis l'Occupation, ce qui est, soit dit en passant, un sacré aveu. Les concepts de Grand Remplacement et d'occupation de forces étrangères sur le sol français, tant vilipendés par nos zélites politico-médiatiques comme étant des « fantasmes populistes d'extrême-droite », se trouvent donc ipso facto validés par cette décision historique de Tartine au Brie.
Mais qu'en sera-t-il de la grande Braderie de 2017 ? Qu'est-ce qui aura changé dans douze mois ? Peux-tu assurer, Tartine, que Daesh aura été exterminé ? Pour atteindre ce résultat, as-tu milité pour une intervention militaire française digne de ce nom en Syrie, Irak, Libye ? Te prononces-tu pour un soutien sans faille à Poutine qui est le seul vrai opposant à l'avancée de l'Etat Islamique ? Auras-tu d'ici 2017 milité pour l'internement des fichés S ? Pour l'expulsion des doubles nationaux soupçonnés de terrorisme ou de radicalisation ? Pour l'expulsion des clandestins ? Pour la fermeture des mosquées salafistes ? Pour la déchéance de nationalité d'apprentis terroristes ? Pour l'application, enfin, d'une Justice ferme ? Bref pour tout ce contre quoi, tes complices socialos et toi-même, vous vous êtes élevés des années durant ?

Si tu persistes à dire non à toutes ces mesures de simple bon sens, qu'est-ce qui peut bien te laisser supposer que la situation sera différente dans douze mois, de celle qui prévaut aujourd'hui ? Par quel coup de baguette magique, le risque d'attentat pourrait-il bien se trouver suffisamment réduit, en 365 petits jours, pour permettre d'organiser la grande Braderie de 2017 ? Et les suivantes ...

Pour terminer sur une note comique, constatons que dans le même temps où Hollande Ouille va à Rio avec son sourire niais aux lèvres, pour tenter de persuader le Comité Olympique que l'organisation des Jeux à Paris en 2024 serait formidable, avec toutes les garanties de sécurité possibles vis à vis du risque terroriste, le préfet du Nord et la Tartine avouent leur incapacité à garantir la sécurité d'un simple vide-grenier communal... Ces socialos n'ont vraiment honte de rien. Pas même de leur ridicule.
Et c'est avec ce ridicule qu'ils arrivent à nous faire rire. Rire jaune, certes. Mais c'est rire quand même. Faute de mieux.