«Vous n'êtes pas dans
la tête de Trump, et je ne sais pas si je vous le souhaite,
d'ailleurs, mais ...»
Voilà le commentaire que
s'autorise le journalope de I-télé animant l'émission consacrée
au premier débat entre Clinton et Trump ce 27 septembre, en
s'adressant à une chroniqueuse ayant suivi plus particulièrement la
campagne du magnat new-yorkais. Bonjour la neutralité qui serait de
mise chez un vrai politologue. Pour sa part, un Saucisson-Pinard
journaliste, rêverait au contraire, s'il devait interviewer un
homme politique, pouvoir être dans sa tête : pour le cerner au
mieux! Eh bien, pas un journaliste de I-Télé, apparemment !
Pas curieux, le clampin.
Quand on voit avec quelle
partialité la Presse française dans son ensemble traite
l'adversaire de la Clinton depuis le début de cette campagne
électorale américaine, on ne devrait pas être étonné de cette
décontraction avec laquelle ce prétendu journaliste se permet
d'afficher ainsi sa préférence.
Le décor était planté:
on allait assister au débat entre « Hillary » la
Démocrate (située à gauche, donc honorable), amicalement désignée
par son prénom, et « Trump », le Républicain (de
droite, donc méprisable). Ce n'était donc pas un débat entre
Hillary et Donald, ni entre Clinton et Trump, mais bien entre la
sympathique Hillary, et cet individu appelé Trump.
Il est amusant d'ailleurs
de constater que le parti-pris de la Presse française, affiché très
tôt dans cette campagne électorale, fait davantage de l'anti-Trump
que du pro-Clinton. Faute sans doute de trouver beaucoup d'arguments
en faveur de l'ex-secrétaire d'Etat, elle se borne à un dénigrement
anti-Trump systématique.
Il y a quelques semaines,
une journalope de BFM était censée faire le compte-rendu d'un
meeting de Trump. L'attentive professionnelle de cette chaîne d'info
en continu, qui a tant fait preuve jusque là de sa fidélité au
politiquement correct en France comme à l'étranger, racontait que
« lors de son discours consacré à sa politique économique,
Trump s'était interrompu, agacé par les pleurs d'un bébé dans la
salle, et avait demandé à ce que ce dernier soit sorti pour pouvoir
poursuivre son allocution. »
Voilà tout ce que la
« journaliste » de BFM avait retenu d'un discours de plus
de deux heures. On en saura pas plus, ce jour-là sur BFM, sur le
programme économique du candidat républicain... Merci BFM TV, pour
ce passionnant reportage.
Evidemment, quand, à
l'instar d'une obscure chroniqueuse d'un autre site autre de
(dés)information, on s'extasie sur la « coolitude » d'un
Obama prenant un bébé anonyme dans ses bras avec le sourire
attendrissant de circonstance, on ne peut pas s'intéresser au fond
du programme économique d'un postulant à la présidence d'une des
plus grandes puissances mondiales. Surtout si ce postulant est
anti-establishment, anti-Pensée Unique et remet en question la
politique désastreuse du chouchou des médias.
Pas un journaliste
français de la bien-pensance dominante, ne s'aventurera à
reconnaître trop ostensiblement, par exemple, que la dette publique
des USA sur les deux mandats du showman noir qui fait office de
président, a atteint celle, cumulée, de tous les présidents de
l'Histoire américaine, de Georges Washington à Bush Jr compris...
Excusez du peu.
Donc quand une
ex-secrétaire d'Etat est adoubée par un si performant président,
et est, de plus, en partie responsable de sa funeste politique
étrangère, que fait la Presse française ? Elle la soutient,
bien sûr. Que le retrait prématuré de l'armée américaine d'Irak
et d'Afghanistan décidé par Obama et sa politique en Syrie, aient
entraîné le retour des talibans jusqu'à Kaboul d'une part, et
provoqué l'apparition et le développement de Daesh d'autre part,
sera bien évidemment occulté par nos médias amnésiques.
Bref, pour que rien ne
change aux Etats-Unis comme en France, il faut impérativement
prendre fait et cause pour ceux qui assureront le statu-quo :
Ali Juppépé en France, et la cornue Clinton aux USA. Et il convient
de tirer à boulets rouges sur ceux qui représentent un espoir de
renouveau et de vrai changement : Le Pen ou Dupont-Aignan, par
exemple, en France, et Trump aux Etats-Unis. Nos serviles médias
dévoués à la cause islamo-gaucho-mondialiste s'y emploient avec
zèle.
Après un tel matraquage
anti-Trump et une telle indigence dans l'examen des cursus et des
programmes des deux candidats à la présidentielle américaine, que
peut bien retenir le pékin français moyen? Rien, aucune donnée
objective.
Mais l'AFP est toute
fière d'annoncer que si l'élection avait lieu en France, 86% des
votants se prononceraient en faveur de la Clinton. Un score de
république bananière en quelque sorte. Et c'est normal. Quand on a
une Presse de république bananière, on a une élection de
république bananière.
Si la Presse française
avait fait son travail en toute impartialité, un sondage aurait
montré un score bien plus serré, à l'image de ce qui se passe aux
Etats-Unis. Peu importe que cela soit avec une courte avance de l'un
ou de l'autre candidat. On connait la marge d'erreur des sondages
d'opinion.
Il y aurait aussi à
redire, bien sûr, sur l'objectivité des médias américains dans
cette campagne présidentielle. Après tout, là-bas comme ici, le
quatrième pouvoir fait partie de l'establishment, secoué par Trump.
Toutefois, en regard de ce à quoi on assiste sous notre dictature
socialiste, la Presse américaine a quand même une sacrée leçon de
professionnalisme à dispenser à nos journaleux dignes de la Pravda
de l'époque soviétique.
Les bonnes questions
sont: parmi ces sondés, combien sont suffisamment à l'aise avec la
langue de Shakespeare pour avoir accès aux médias américains ?
Combien ont regardé en direct ou en différé l'intégralité du
premier débat entre Trump et Clinton ? Combien ont eu la
curiosité de s'informer du programme des deux candidats, sans le
filtre déformant de nos médias ? Bref, il est clair que l'AFP
se félicite d'un sondage opéré sur des personnes qui ne savent
absolument pas de quoi elles parlent. Que ce sondage n'ait aucune
crédibilité importe d'ailleurs assez peu pour l'agence de Presse
française. Il lui suffit qu'il serve d'outil de manipulation des
masses.
Au sujet de ce débat
justement : combien de Français se sont aperçus de
l'escroquerie médiatique française qui a conclu hâtivement à la
« victoire » de la Clinton en se basant sur l'unique
sondage de CNN réalisé juste après le débat ? Alors que les
sondages de Drudge Report, The Rightscoop, Time, Fox 5, NJ True
Jersey, Breitbart, CBS New York, The Hill, Heavy, Atlanta Patch, Pix
ont tous donné Trump gagnant ?
Si jamais Trump
remportait finalement cette élection, est-ce que nos merdias
n'auraient pas l'air foutrement couillon ?
Ça ne serait d'ailleurs
pas la première fois qu'ils se couvriraient de ridicule au lendemain
d'une élection présidentielle américaine. Saucisson-pinard a le
souvenir de ce qu'il était advenu en 1980. Nos médias, déjà très
gauchisants à l'époque – ça ne s'est pas arrangé depuis, en
dépit de la dégringolade subie par le pays après quarante années
de politique socialisante- n'avaient pas eu de mots assez
condescendants à l'égard de Ronald Reagan,« cet acteur de
série B ». Ils avaient fait montre d'une arrogance et d'un
mépris sans borne, en oubliant presque que le candidat républicain
avait été aussi gouverneur d'un Etat dont le PIB dépassait celui
de la France, la Californie. Et Reagan a gagné les élections, et
mené une double mandature avec réussite, tant en politique
intérieure qu'à l'internationale. Quant aux Français, ils
élisaient six mois plus tard, le Mythe Errant, avec les conséquences
dont on paye encore aujourd'hui, trente cinq ans plus tard, le
prix...
Toujours dans l'hypothèse
où Trump deviendrait le quarante-cinquième président des
Etats-Unis d'Amérique, Saucisson-Pinard se délecte d'avance de voir
la couleuvre – le boa, plutôt- que devrait avaler Hollande Ouille,
pour transmettre ses félicitations diplomatiques d'usage à celui
qui, a-t-il déclaré avec sa pitoyable et imprudente maladresse
habituelle, « lui donne des hauts-le-coeur »...
La campagne de propagande en faveur de Clinton n’est pas la première du genre et on verra en effet la version française dans quelques mois entre le candidat de la caste et Marine Le Pen.
RépondreSupprimerCe qui est relativement nouveau, c’est que cela se voit et par un nombre croissant de Français qui ont compris à quoi servait réellement les médias.
Les mécanismes de ces campagnes de presse sont désormais bien connus. Il serait intéressant, à présent, d’anticiper leur déclenchement. On pourrait ainsi, comme pour la météo, diffuser une sorte d’alerte orange ou rouge pour prévenir les citoyens de l’arrivée de la déferlante propagandiste.
Ce qui me semble aussi assez nouveau est qu’en l’occurrence, cette campagne de presse est organisée à l’extérieur des Etats-Unis alors que logiquement elle n’aurait aucun intérêt. Les Français s’intéressent en principe très peu aux élections américaines et il est convenu que les américains se fichent de l’opinion française sur leurs élections nationales.
C’est donc que ces idées préconçus sont de moins en moins vraies. Mais surtout, les media français apportent leur soutien à leurs homologues américains pour éviter que Trump ne gagne et que cette dynamique ne profite à Marine Le Pen. On peut parier que les média américains seront aussi très hostiles au FN le moment venu.
Mais cela fait plusieurs campagnes de presse qui échouent lamentablement à influer sur l’opinion. C’est donc qu’ils n’ont pas encore compris que presque plus personne ne les écoutait.
Et votre alerte météo "attention, vague propagandiste, risque de submersion" serait allumée en permanence. Plus personne n'y ferait attention. Mais l'idée est à creuser...
Supprimerha , si môssieur de pédalo ( capitaine, quand même ) a des haut le coeur , il rejoint en cela mââme clinton
RépondreSupprimerpas pour les mêmes raisons, d'ailleurs
l'homme de gauche est sensible de l'estomac
il a toujours "la nausée au ventre a lire zemmour" et trouve toujours les idées des autres "nauséabondes" , en clair , tout le fait gerber
mââme clinton , elle , est nauséeuse , pour pomper
hé oui
si elle avait pas été secouée de vomissements en pompant bill, celui ci ne serait pas allé se faire sucer ailleurs
tiens, je l'ai vu ( malgré moi ,j'étais à l'hôtel , aux amériques ) sur CNN pour l'enterrement de chimon pérèsse....
avec son gros nez de pochetron , sa trogne réjouie et sa kippa juchée sur ses cheveux indisciplinés , il avait l'air d'un clown