Statistiques soigneusement dédaignées par les Progressistes et leur merdias. |
L'heure est venue pour Saucisson-Pinard de dire merci.
L'affaire purement locale de ce keffir mort des suites d'une intervention musclée de la police de Minneapolis, qui a manqué pour le moins de discernement et de mesure, est récupérée en toute indécence par les antifas et l'extrême-gauche. Alors merci !
Elle est récupérée par les anti-racistes de France. Merci.
(Au passage, Saucisson-Pinard constate avec amusement ce qui pourrait paraître comme une dérive sémantique imposée à la langue française par le politiquement correct qui consiste à appeler « anti » fasciste des fascistes authentiques, et « anti » raciste les vrais racistes. Mais tout bien réfléchi, l'antichambre n'est pas opposée à la chambre, elle y mène. Pareil pour l'antifa et le fascisme et pour l'anti-raciste et le racisme. Mais c'est un autre sujet.)
Cette récupération est relayée avec gourmandise par les merdias mainstream et organisations « progressistes ». Merci à eux, merci à elles.
Merci aux journalistes
propagandistes des chaînes d'info et organes de presse français de
ne pas avoir fait remarquer que dans l'équipe policière responsable
de l'arrestation du délinquant Floyd, il y avait certes un toubab,
mais aussi un Asiatique et un keffir.
Merci de ne pas avoir insisté sur le fait que le chef de la police de Minneapolis, et donc responsable de ce que fait son équipe, est lui-même un keffir.
Merci de ne pas avoir fait remarquer que le maire de Minneapolis dont dépend ce chef de la police est un Démocrate farouchement anti-Trump.
Merci de ne pas porter à la connaissance du public français que si la population noire des USA ne représente que 13,4% de la population totale, elle est auteure de 48,4% des actes criminels, quand la population blanche (hispaniques compris) qui représente 76,5% de la population totale, n'est impliquée que dans 45,9% de ces crimes.
Merci d'avoir occulté le fait que finalement la sur-représentation apparente des keffirs victimes de bavures policières est juste proportionnelle à leur sur-représentation dans la délinquance.
Merci d'avoir omis de dire qu'aux Etats-Unis, un Blanc a deux fois plus de « chances » de se faire tuer par un Noir qu'un Noir a de se faire tuer par un Blanc. Qu'un Noir victime de meurtre a 88,9% de chances de se faire tuer par un autre Noir.
Merci aux émeutiers d'Atlanta d'avoir incendié un bâtiment de CNN, merdia pourtant progressiste pur-sucre.
Merci aussi à eux d'avoir pillé un magasin de Microsoft, la société de Bill Gates qui s'était pourtant fendu quelques heures plus tôt d'un message de soutien au groupe Black Lives Matter.
Merci d'avoir pillé un magasin de la chaîne Nike, marque pourtant toujours prompte à se soumettre à la propagande islamique en proposant des hijabs, birkinis.
Merci aux propagandistes médiatiques qui ont invité, ré-invité, sur-invité la sœur de Traoré à s'exprimer sur leurs plateaux et devant leurs micros, sans jamais l'avoir contredite sur la bonne tenue prétendue de la manifestation pourtant interdite, qu'elle a lancée dans les rues de la capitale, avec des pillages, incendies de véhicules et violences à la clé.
Merci aussi d'avoir laissé cette keffir pasionaria déverser sa haine de la France sans jamais lui demander de quelles rapines et subventions et allocations généreusement déversées par ce pays qu'elle abhorre, elle et sa famille de repris de justice vivent.
Merci de ne pas lui avoir demandé quels liens son association « Justice pour Adama Traoré » avait avec l' « Open Society » de Soros.
Merci à notre Rantanplan sinistre de l'Intérieur d'avoir validé les thèses d'un prétendu racisme policier en mettant la pression sur la Police qui aurait sans doute préféré plutôt un soutien de la part de son ministère de tutelle.
Merci au LREM de se joindre à l'hommage international à ce keffir délinquant mort à Minneapolis sans jamais s'être offusqué lorsque des toubabs, policiers ou civils, sont morts suite à l'agression d'Arabes ou d'Africains, en France ou ailleurs.
Merci à Merkel d'avoir délégué aux policiers allemands la charge de prouver leur innocence en cas de dénonciation de discrimination raciale alors que normalement c'est toujours au plaignant qu'incombe la charge de la preuve du fondé de sa plainte.
Pourquoi tous ces mercis ?
Parce que ces militants, immigrés, antifas, anti-racistes, indigénistes et autres gauchistes de tous poils, ces lâches politiques, nous apportent de façon éclatante la démonstration que le fameux « vivre-ensemble » est une pure lubie, un leurre, un fantasme complètement dénué de réalité, voire une impossibilité ethnologique.
Il suffisait déjà pour le savoir, de constater ce qui se passe partout sur la planète. Dans tous les pays où il y a diversité culturelle et ethnique, il y a affrontements, une délinquance et une violence exacerbées. C'est une règle qui ne souffre aucune exception. Et moins les minorités sont minoritaires, moins l'assimilation est possible. Et moins l'assimilation est possible, plus les conflits inter-ethniques sont récurrents, et la violence omniprésente.
Assez drôlement, les Progressistes, en soutenant les émeutes raciales et en hurlant avec les loups, se font eux-mêmes les dénonciateurs de l'échec de leur idéologie multiculturelle.
La France est désormais arrivée, avec son immigration débridée de ces quarante dernières années, à un point où l'assimilation est impossible, où le spectre d'une guerre entre les populations qui « cohabitent » sur notre sol est inévitable, et notamment entre la population de souche et l'immigrée. La France a en plus la circonstance aggravante d'avoir affaire, entre autres, à une population arabe qui a démontré de tous temps et en tous lieux une incapacité totale, culturelle et religieuse, à s'intégrer de quelque façon que cela soit, dans une culture différente.
Les prises de position agressives de tous les acteurs de ces évènements actuels sont l'aveu spectaculaire, quoique inconscient, que ceux qui n'ont jamais cru à l'illusion progressiste du vivre-ensemble avaient raison. Merci donc à eux.
La question n'est même pas de savoir si les récriminations de SOS-Racisme, Ligue de Défense des Noirs et autres organisations subventionnées, quant à une prétendue discrimination, ou racisme de la part des forces de police, sont fondées ou pas.
On sait évidemment qu'elles sont forgées de toutes pièces et ne reposent sur aucune réalité statistique, mais ce n'est même pas le vrai sujet. C'est un peu comme dans une querelle de famille : on sait que tante Gertrude est en froid avec le cousin Raymond, les autres membres de la famille ne savent pas trop pourquoi, ignorent qui a raison et qui a tort, et à la limite, ça n'a pas trop d'importance. Ils ne prennent pas partie ni pour l'un ni pour l'autre. Ils se contentent de constater le malaise entre ces deux protagonistes et évitent juste de les avoir ensemble dans la même pièce, et puis c'est tout. Quand ce genre de conflit arrive dans une famille, c'est évidemment la pire des situations, parce que précisément, c'est une famille, avec ce que cela suppose de liens étroits et histoires communes ! Quoiqu'ils fassent, quoiqu'ils disent, qu'ils le veuillent ou pas, les belligérants éventuels ne peuvent éviter de faire partie d'une même entité, cette entité qui porte le vocable de « famille ».
Mais dans le cas de la nation France, de façon tout à fait claire, ceux qui cherchent l'affrontement avec les Français de souche ne font pas partie de la famille. C'est la raison pour laquelle il serait inexact de parler de guerre civile pour évoquer l'affrontement inéluctable dont on assiste aux premières escarmouches. Une guerre civile est, par définition, un affrontement entre membres d'une même famille, en l'occurence, une même patrie.
Ici, nous sommes davantage dans la configuration d'un voisin qui viendrait s'installer chez vous, invité (ou pas d'ailleurs...), et qui s'exclamerait : « dites, c'est dégueulasse ce qu'on bouffe ici ! Et, côté ameublement, vous avez vraiment un goût de chiotte ! En plus, vous avez une gueule qui ne me revient pas ! » Assez légitimement semble-t-il, vous êtes en droit de dire à votre voisin : « Peut-être que mes repas ne sont pas à votre goût, peut-être avez-vous raison sur l'esthétique de mon ameublement, et je suis désolé que ma gueule vous déplaise, mais vous savez où est la porte de sortie. Et bonjour chez vous ! »
Ainsi donc, chers (au sens financier du terme) immigrés de toutes origines qui ne vous sentez pas français, si la France est raciste, si son Histoire vous déplaît, si vous vous y sentez opprimés, si vous estimez qu'il n'y a pas assez d'habitants de votre couleur de peau, mettez un terme à votre souffrance et quittez ce pays que vous haïssez. Retournez donc d'où vous venez, d'où vos parents viennent. Enfants d'immigrés, n'en voulez pas trop à ces derniers, ils ont cru qu'ils vous avaient amenés ici pour faire votre bonheur, ils se sont trompés, mais la vie est trop courte pour payer leur erreur plus longtemps: allez voir ailleurs, dans votre patrie de cœur, l'herbe y est sûrement plus verte.
Nous, Français de souche, on prendra sur nous et on se fera une raison de vous voir partir.
Merci, tout est dit et bien dit...
RépondreSupprimerMerci à toi, Saucisson-Pinard. Mais l'affrontement est-il "en marche": tout est fait pour museler le toubab, le castrer, le culpabiliser, et tout sera fait pour le réprimer, l'enfermer, le liquider s'il relève un peu la tête ...
RépondreSupprimerL'affrontement sera "en marche" aussi longtemps que ceux qui ne veulent pas être muselé, castré, culpabilisé et réprimé, relèveront la tête et résisteront en "faisant tout" ce qui est nécessaire pour cela. Une cause n'est perdue que lorsqu'on prétend qu'elle l'est avant de s'être battu pour elle.
SupprimerJe suis bien d'accord avec vous mais j'ai bien peur que votre appel ne soit pas entendu...eux ne partiront pas, vous pensez! Nous, en revanche...
RépondreSupprimerAmitiés.