Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

jeudi 26 juillet 2018

#AllonsChercherMacron

"J'ai un melon... comme ça!"

Comme on pouvait s'en douter après avoir visionné le film sur la Fête de la Musique à l'Elysée, la racaille est au pouvoir. 
L'incompétence manifeste de la plupart des ministres, les Le Maire, Belloubet, Buzyn, Schiappa, Nyssen, Collomb, Darmanin, ne suffisait pas. Macreux a réussi a ajouter dans la sphère du pouvoir d'authentiques voyous naturellement portés sur la violence. Entre une députée keffir En Marche mordeuse de chauffeur de taxi (Laétitia Avia), et un député arabe, également En Marche, distribuant des coups de casque (El Guerrab), il manquait un Conseiller du locataire de l'Elysée se mêlant aux flics pour casser du manifestant. 

C'est donc fait avec Benalla, d'origine arabe comme son nom l'indique, (accessoirement franc-maçon). Il n'y a pas de raison que les sphères du pouvoir ne profitent pas, elles aussi, des bienfaits de la diversité...

L'affaire Benalla finit par éclater. Pas grâce aux médias, bien sûr, trop occupés à regarder ailleurs, mais par les réseaux sociaux. Evidemment, il arrive un moment où il faut bien aller au charbon et se mettre à évoquer publiquement le scandale de cette petite frappe, proche (très proche) de Macreux. Les faits remontent au 1er mai, mais les merdias attendent quand même deux mois et demi, contraints et forcés.

Macreux mettra encore un peu plus de temps pour se découvrir. Pourtant interpellé à plusieurs reprises sur le sujet, notre ARROGANT en chef a feint de ne pas entendre les questions de journalistes pourtant pré-acquis à sa cause, et botté en touche. 
Comprenant enfin qu'il n'allait pas s'en tirer à si bon compte, au fur et à mesure que le scandale grossissait, devenant un scandale d'Etat, Macreux décida de jouer au MATAMORE. Pas devant des journalistes, pourtant par nature plutôt complaisants à son égard ; quand même, il n'allait pas risquer de se voir poser des questions gênantes ! Non, il est allé s'incruster à un pot de fin de session parlementaire de députés En Marche qui ne sont pas connus pour avoir l'habitude de moufter. A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Sa venue était, dit-on, parfaitement improvisée et non annoncée. La preuve ? Un micro était par hasard disponible pour sa petite causerie, et il s'est trouvé également par hasard des personnes pour le filmer, pendant tout son speech, sous différents angles. Parfaitement improvisée, on vous dit.

Et qu'est-ce qu'il a dit à son troupeau de moutons, notre courageux présidenticule ? Qu'il assumait ! Bravo ! « Je suis le seul responsable » affirma-t-il avec morgue, en bombant le torse. « Et je vous emmerde » pensa-t-il si fort que tout le monde entendit. Mieux : à l'image du petit caïd de quartier, il ajouta : «  ceux qui veulent un responsable, qu'ils viennent me chercher ! ». « Eh, ouech ! Viens m'chercher, bâtard, z'y va... »
On a donc un président de la République fier d'être le chefaillon responsable des actes violents d'une petite racaille, hébergée sous les ors de la République.
Fier d'avoir juste infligé au coupable une petite mise à pied, sans, paraît-il, suspension de salaire, parce qu'il faut quand même être magnanime.
Fier de l'avoir récompensé en le laissant accompagner l'équipe de foot du mondial sur les Champs-Elysée. 
Fier d'avoir tenté d'étouffer l'affaire si longtemps.
C'est formidable.

En tous cas, le défi est lancé : le souverain CONDESCENDANT met les juges, les politiques et pourquoi pas le peuple, au défi de venir lui demander des comptes. On suppose donc qu'il ne cherchera pas à mettre des bâtons dans les roues de la Justice, qu'il acceptera de se confronter aux politiques un peu couillus, qu'il n'appellera pas la Garde Républicaine au secours si le peuple se rend à l'Elysée (#AllonsChercherMacron). On suppose...



Les occasions où notre bankster présidentiel s'est montré ROGUE à l'égard du « petit » peuple ont été nombreuses. Toujours prompt à donner des leçons, il a du mal à cacher un ego démesuré, en tous cas, un ego surdimensionné par rapport à sa piètre compétence. La meilleure façon pour la France de se renflouer serait d'acheter ce bankster au prix de ce qu'il est et de le vendre au prix auquel il s'estime.

L'OUTRECUIDANT président devrait se méfier. Au-delà de son déjà triste bilan économique, sociétal, diplomatique, le peuple français pourrait bien juger son locataire élyséen sur sa propension à le mépriser, et le lui faire savoir violemment. Ça s'est vu à maintes reprises dans l'Histoire.

Le peuple a souvent pardonné à ses souverains d'être NULS. Mais pas toujours d'être dédaigneux et méprisant à son égard.

C'est là qu'on découvre que M.A.C.R.O.N est en fait un acronyme. M comme Matamore, A comme Arrogant, C comme Condescendant, R comme Rogue, O comme Outrecuidant, N comme Nul. Macron est un matamore arrogant condescendant (dans les escaliers, par exemple, mais pas que) rogue, outrecuidant et nul.

lundi 2 juillet 2018

Un micro dans la chambre à coucher élyséenne!!!


 
Le bottin sur le siège: ou comment être à la hauteur de son poste.

Exclusif ! Saucisson-Pinard a pu glisser un micro-émetteur dans la chambre de Macreux-l'Oreillette, à l'Elysée!

Voici l'extrait d'un des enregistrements effectués.

Bruit d'une porte qui s'ouvre.

Macreux : Aaaaaaaah !!!!! Mais qu'est-ce que vous faites là, dans ma chambre, Madame ?

La voix : Mais enfin, mon petit chéri, c'est moi, Brizitte !

Macreux : Ah, excuse-moi maman,  je ne t'avais pas reconnue.

Brizitte : Ben, je me suis démaquillée, comme tous les soirs avant de me coucher !

Macreux : Ah c'est pour ça que je ne t'ai pas vue depuis deux bonnes heures...

Brizitte : Je viens te faire un gros poutou avant de regagner ma chambre, mon petit chéri.

Macreux : A propos, arrête de m'appeler « petit chéri » ! « Chéri » tout seul , ça suffira ! Je me donne un mal de chien à paraître plus grand que mes collaborateurs quand ils sont à côté de moi pour les photos, alors si toi, de ton côté tu m'appelles « petit », ça ne le fait pas ! L'autre jour, pour la signature de la réforme SNCF que j'ai mise en scène pour la télé comme Trump, j'ai dû mettre un bottin sur mon siège et donner un fauteuil plus bas à mon porte-parole Griveaux qui fait plus d'un mètre quatre-vingt, ce con !

Brizitte: Bon, d'accord, mon grand chéri...

Macreux: Dis, tu as vu cette Marche des Fiertés, à Paris, comme c'était beau !

Brizitte: Oui, je sais ! T'aurais bien voulu monter sur un char au milieu de tes copains-copines, pour faire encore la Une, mais je te le répète, ça n'aurait pas été raisonnable...

Macreux: L'année prochaine, peut-être ?

Brizitte: Dis, tu as déjà eu ta journée, avec la fête de la musique ! A l'Elysée, en plus ! Je t'avais bien dit que cela serait une consolation de ne pas aller sur un char de la Marche des Fiertés... Au fait, je me suis demandé, pourquoi appelle-t-on ça, la « Marche des Fiertés » ?

Macreux: C'est la traduction de la Gay Pride !

Brizitte: Oui, merci ! Mais fier de quoi au juste ?

Macreux: Je ne sais pas. Fier d'être « différent », peut-être ?

Brizitte: Et t'es fier d'être « différent » toi ? Pourtant, tu ne l'affirmes pas vraiment...

Macreux: Moi, c'est autre chose ! Je suis Jupiter ! Alors les Français me voient comme un dieu, pas comme un humain défini par sa sexualité... Dis, tu m'as entendu, au Panthéon ? J'ai été bon, hein ?

Brizitte: Oui, mon pet...oups !... mon chéri, tu as été merveilleux ! Tu mélanges les mots comme personne ! Mais où vas-tu chercher tout ça ? « La civilisation est une aventure », par exemple. Comment fais-tu ?

Macreux: Je ne sais pas, ça me vient comme ça ! Je connais un certain nombre de mots que les gens aiment entendre, et je les mets bout à bout...

Brizitte: Remarque, ça n'a pas toujours du sens...

Macreux: Du sens ? Mais on s'en fout, maman ! Du sens !!! L'important, ce sont les mots ! Pas le sens de la phrase !
Regarde par exemple : je dis, avec des trémolos dans la voix, que mettre la Simone au Panthéon, c'était une décision de tous les Français ! Les Français sont contents : ils ont l'impression d'avoir été consultés ! Mais t'as remarqué, on a évité de le faire ! En même temps, il vaut mieux, parce qu'avec tous ces illettrés, ces feignants, ces alcooliques, ces riens du tout, et ces lépreux de nationalistes...
Donc je prends des mots comme dignité, combat, humanité, espérance, valeur, justice, les femmes, souffrance, liberté, signification du monde et puis, je te fais un fourre-z-y-tout, avec un peu de sauce camp de concentration, et paf : Applaudissements garantis ! Et puis, t'as remarqué, si les applaudissements ne viennent pas, tu t'arrêtes de parler. Du coup, tes auditeurs, polis, se croient obligés de frapper dans leurs mains pour te relancer...

Brizitte: Oui mon chéri. Et avec tes "civilisations qui se tissent de ces liens organiques... », tu as été formidable.

Macreux: Et qu'est-ce que tu as pensé de ma trouvaille : le numéro tatoué sur le bras de la Simone « le viatique de sa dignité invulnérable », fallait l'inventer celle-là, non ?

Brizitte: Génial, il n'y a pas d'autres mots!

Macreux: Je sais, je sais... Oh et puis, tu as vu, quand j'ai écrasé une larme?

Brizitte: Tu as été émouvant. Je me suis rappelé les cours de théâtre que je te donnais quand tu étais gamin. Je ne savais pas à l'époque, que ça te servirait aujourd'hui !!

Macreux: Putain, si après tout ça, je ne garde pas les voix juives, je me fais curé !

Brizitte: Mais t'es déjà chanoine, mon pet... mon chéri !

Macreux: Ouais, en tous cas, Soros, Goldman-Sachs et Rothschild peuvent voir qu'ils n'ont pas financé la campagne présidentielle d'un ingrat!

Brizitte: Ah bah ça, c'est sûr !

Macreux: Bon, c'est pas tout ça, mais il va falloir que tu regagnes ta chambre et me laisser dormir. Demain j'ai une rude journée, il faut que je m'assure d'une promotion et d'une mise au placard !

Brizitte: Ah oui ? Qui sont les heureux gagnants de ta gestion du personnel ?

Macreux: Je vais promouvoir à Paris le procureur de Lyon chargé de l'enquête sur les aides suspectes de la métropole lyonnaise de Collomb pour ma campagne électorale. Ça lui fera gentiment comprendre qu'il n'y a rien d'urgent dans son enquête et que j'ai l'oeil sur lui. Quant à l'ambassadeur de France en Hongrie qui vante les mérites et propos d'Orban sur le ras-le-bol de l'immigration et sur les musulmans, principaux vecteurs d'antisémitisme, je le fais rappliquer dare-dare en France. Je vais lui trouver d'autres occupations, moi...Un bon petit poste dans la Creuse devrait lui apporter un peu de repos. Allez, bisous maman, je te revoie demain, après ta séance de maquillage !