Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

mardi 30 janvier 2018

Quand on n'a plus voix au chapitre chez soi...


on essaie de l'avoir ailleurs.



La France s'inquiète du sort des « Français » (les guillemets s'imposent en l'occurrence) qui sont partis rejoindre les troupes de Daesh et qui se sont faits capturer.
En fait, quand on lit « La France s'inquiète », il faut comprendre « les quelques politichiens qui s'arrogent le droit de parler au nom de tous les Français, s'inquiètent », car le Français de la rue se fiche au dernier degré de ce qui peut bien arriver à ces déchets islamiques.
Au mieux, ce Français regrettera que la sollicitude de l'Etat français ne s'étende pas au sort de ses anciens dans des Ehpads surchargés et aux budgets de fonctionnement en diminution, ou à celui de ses sans-abris.

Mais voilà, la France a supprimé la peine de mort, (sauf bien sûr pour 212 000 bébés en devenir chaque année, ses policiers et ses soldats), et l'idée même que ses ressortissants puissent ne pas bénéficier de cette mansuétude à l'étranger, lui est insupportable.
Que ces ressortissants, ou dénommés abusivement comme tels, puisque la grande majorité d'entre eux ne sont en fait que des Français d'importation ou de papiers, conchient la France, qu'ils se soient rendus coupables d'avoir transgressé ses lois, d'avoir combattu des soldats français, d'avoir torturé, décapité, assassiné sauvagement des civils, d'avoir violé des femmes, n'a aucune espèce d'importance. Ils doivent avoir « un jugement équitable » et surtout échapper à la peine de mort.

Nicole Belloubet, la sinistre de la Justice au physique de dame-pipi de gare, a affirmé que la France interviendrait si certaines de ces raclures devaient être condamnées à la peine capitale suite à leur jugement en Irak.
On pensait que c'était de la Justice en France dont elle était en charge, mais apparemment, sa responsabilité s'étend jusqu'à la Justice rendue au Moyen-Orient. Et si la France a renoncé à l'application de la peine de mort – sans demander l'avis des citoyens français d'ailleurs, mais s'il fallait demander l'avis de ces derniers pour des choses aussi peu importantes, on n'en sortirait plus mon brave monsieur- il va de soi que les pays étrangers se doivent de partager sa conception bisounourso-droitdelhommiste de la Justice.

Si donc il prenait aux juges irakiens l'envie d'appliquer la seule peine véritablement équitable pour ces « Français », à la hauteur des faits qu'on leur reproche, et que, de surcroît, leur permet leur Code Pénal de nation souveraine, notre gouvernement se permettrait d'intervenir...
On ne dit pas quelle forme d'intervention il pourrait bien s'agir, mais on peut imaginer que d'une façon ou d'une autre, cette intervention aurait un coup financier direct ou indirect, c'est-à-dire se traduirait par une ponction dans la poche du contribuable français.

Le même jour où on apprend cette décision d'ingérence délibérée, on entend que l'Europe de Bruxelles « donne dix jours à la France pour proposer de nouvelles mesures pour lutter contre la pollution, sous peine d'encourir une procédure d'infraction qui pourrait entraîner des pénalités financières. »
N'est-elle pas formidable cette Europe qui « convoque » un de ses membres comme le ferait un Proviseur de lycée avec un garnement pris en flagrant délit de désobéissance?
On constate donc que la France n'est plus assez autonome pour savoir ce qu'elle doit faire – ou ne pas faire- pour réduire sa pollution, mais elle le serait suffisamment pour dicter ce que doit être un jugement de tribunal à des milliers de kilomètres de là, dans un pays souverain hors d'Europe !
Est-ce que finalement la France se serait pas frustrée de sa dépossession de pouvoir sur son propre destin en Europe, et ne chercherait pas à compenser cette frustration en tentant d'imposer sa loi en dehors ? Un peu comme le mari castré par une épouse dominatrice chez lui, qui se mue en chefaillon tyrannique sur son lieu de travail.

La dame-pipi de la Chancellerie qui s'est permis cet avertissement a dû estimer qu'il était temps pour elle d'allumer un contre-feu pour détourner l'attention de l'incommensurable incompétence dont elle fait preuve dans le conflit qui l'oppose aux gardiens de prison.
On cherchera vainement la cohérence qu'il y a à éviter à tous prix une peine de mort décidée après mûres réflexions par des magistrats, pour des combattants ennemis qu'on mitraillait allègrement et couvrait de bombes quelques jours à peine avant leur capitulation.

A moins évidemment que cette sortie ne cherche juste qu'à donner le change envers nos bonnes âmes droitdelhommistes à la Toubon : « Françaises, Français, regardez : certes on ne fait pas trop d'efforts pour exiger que ces djihadistes soient jugés en France (ça, c'est pour se ménager l'opinion du citoyen de droite), mais « en même temps » (comme dirait l'autre), voyez-vous, on leur évitera la peine capitale (ça, c'est à l'intention du bobo de gauche) ».
Et puis une fois qu'on sera sûr que la peine capitale ne leur sera pas infligée, il sera toujours possible, dans quelques mois ou années, de rapatrier ces « ressortissants » discrètement, quand les Français regarderont ailleurs.

samedi 6 janvier 2018

Un passé pas assez simple pour nos élèves immigrés.



La course au nivellement par le bas de la culture de nos enfants s'accélère. Comme l'annonce avec délectation le magazine Le Point, « Par souci d’égalitarisme, les nouveaux programmes scolaires écartent le passé simple, un temps jugé trop littéraire et discriminant. »
En primaire, mais aussi dans le secondaire jusqu'à la classe de cinquième incluse, le passé simple ne serait plus enseigné que pour la troisième personne des verbes du premier groupe !

Le passé simple serait donc trop compliqué à apprendre pour nos nouveaux « Français » d'importation débarquant du tiers-monde. Du coup, les Français de souche auront, eux aussi, à ignorer ce pan de conjugaison que pourtant des générations d'élèves français d'Appellation d'Origine Contrôlée ont appris, durant des décennies, et utilisé sans problème.

Saucisson-Pinard ne voudrait pas paraître médisant, mais cette décision de supprimer, pour tous, une prétendue difficulté dans le seul but de se mettre au niveau d'une frange de population exogène, qu'on pré-suppose donc, comme moins douée intellectuellement, ça ne se rapprocherait pas d'une analyse « raciste », selon les critères actuels, des différences entre les races ? Saucisson-Pinard dit ça, il ne dit rien...

Il constate juste que l'immigration en provenance d'Afrique, subsaharienne et maghrébine, qu'on nous a présentée pendant des années comme étant un enrichissement, se traduit, une fois de plus, par un appauvrissement, appauvrissement culturel en l'occurrence.

Quand Saucisson-Pinard tomba (passé simple) sur cet article du Point, il lui souvint (passé simple), que feu son beau-père, qui n'avait en poche que son certificat d'études, n'eut (passé simple) pas à souffrir de l'apprentissage du passé simple, qu'il mania (passé simple) d'ailleurs excellemment, à toutes les personnes, fort à propos, toutes les fois que nous eûmes (passé simple) à discuter ensemble.
Il faut dire que son certificat d'études, acquis vraisemblablement fin des années quarante, était d'un niveau qui laisserait les bacheliers d'aujourd'hui complètement à la ramasse, que ce soit en français, en histoire, en géographie ou en sciences naturelles...

Le passé simple serait littéraire et donc « discriminant ». Les merdias de la gauchosphère sont nombreux à tenir ce raisonnement : la langue du pays hôte doit être connue pour permettre une bonne intégration des immigrés (légaux ou clandestins), ce dont on pourra convenir assez facilement.
Mais si cette langue est trop difficile – ce qui est le cas de la langue française, il faut le reconnaître, preuve, soit-dit en passant, de la sophistication de notre culture (vous savez, cette fameuse culture française que Macreux-l'Oreillette affirmait n'avoir jamais vue...), elle doit se simplifier pour se mettre au niveau des invités ! Donc si ces invités (invités ou squatteurs d'ailleurs), ont un QI à deux chiffres, il faut que la culture française s'abaisse à ce niveau.

Ainsi, si d'aventure vous avez chez vous, à votre table, un Papou de Nouvelle-Guinée qui ne connaît pas l'usage de la chaise et de la fourchette, vous êtes prié de vous asseoir sur votre carrelage et de manger avec vos doigts. Sinon, vous seriez discriminant.

Saucisson-Pinard suggère de poursuivre le mouvement un peu plus loin. Il estime que les mots de trois syllabes et plus, sont souvent difficiles à prononcer, et encore davantage à écrire. On devrait donc les bannir de notre langue et se contenter d'une ou deux syllabes maximum.
Certaines syllabes employées en français sont elles-mêmes inutilement complexes dans leur phonétique et sont inabordables pour certaines populations issues de régions d'Afrique où la culture écrite n'a même jamais existé malgré des millénaires d'histoire...
Pourquoi s'encombrer de « ch » pour obtenir le son « cheu », pourquoi mettre à la suite plusieurs voyelles, pourquoi s'encombrer de diphtongues ? Simplifions donc tout ça afin que l'invité dont le savoir (la « culture »?) des parents et grands-parents ne repose que sur ce qui était retenu de leurs ancêtres par traditions orales, faute d'avoir l'écriture comme outil de mémoire, puisse s'intégrer.

On enseignera donc bientôt à nos enfants qu'on ne dit plus « ce chocolat est délicieux », mais « y'a bon le coco ! » afin qu'ils puissent se faire comprendre de leur copain Bamboula et que ce dernier ne se sente pas discriminé !
Il n'y a pas à dire, le vivrensemble est décidément une vraie richesse... !