Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

mardi 31 janvier 2017

(Sale) état des forces en présence.



Hamon et Mélanchon sur le cadavre du PS
Le PS vient, avec le résultat de la primaire de gauche, de se tirer une balle dans la tempe. De profondis. Parfait. Bon débarras. Le petit Caudillo s'est repris une claque, et celle-là non plus, il ne l'a pas vue venir. C'est dire, au passage, si nos gouvernants sont déconnectés des réalités.
Le petit islamo-collabo Ben Hamon va donc se disputer les restes du cadavre du socialo-communisme avec le Méchancon. Le spectacle de ces deux charognards s'étripant va être jouissif, Saucisson-Pinard le sent.

Il y en a un qui se frotte les mains, c'est le Macron. Les VIP (Very Inconsistent Personnalities) de la gauche sociale démocrate et du centre gauche vont se précipiter dans ses bras. Et cela aussi va être d'un irrésistible comique. Voir les auto-proclamés héritiers de Blum et Jaurès aller à la soupe d'un ex-banquier du groupe Rothschild, avouez que ça ne manquera pas de sel.

L'inconvénient, évidemment, pour l'ex-ministre de l'économie foireuse de Hollande Ouille, c'est qu'il va lui être difficile désormais de jouer la carte du candidat anti-système. Avec la Folle du Poitou Royal, Bergé la folle du Monde, avec Minc et Attali, nos Nostradamus des prédictions ratées, avec le porteur de sac de riz Kouchner, avec l'écologiste recyclée Lepage, et avec le journalope ex-bayrouiste Cavada, comme soutiens, l'image « anti-système » de Macron a du plomb dans l'aile.
Le mouvement « En marche » devient le refuge Emmaüs des SDF du système mondialiste et multiculturaliste français.

Bien sûr, les merdias vont continuer à faire les yeux doux à cette nouvelle tête de l'échiquier politique, avec d'autant plus d'enthousiasme au fur et à mesure que l'échéance présidentielle se rapprochera. Mais la ficelle va devenir de plus en plus grosse aux yeux des électeurs, au point de devenir un câble de pont suspendu, et ils vont finir par deviner qu'à l'autre bout du câble, il y a le Système actuel qui manipule une marionnette macronscopique.

L'absence de programme fait actuellement la force de Macron, qui capitalise sur sa bonne et relativement nouvelle bouille et ses propos vagues. Mais il faudra bien qu'il finisse par se découvrir et se prononcer sur des options et mesures concrètes. Le rideau de fumée va s'estomper. Et le mouvement « En marche » pourrait bien alors la rater (la marche) !
Macron annonce son programme présidentiel pour début Mars, reconnaissant du fait même, que jusqu'à maintenant il a bien brassé du vent. La flagornerie médiatique n'en paraît que d'autant plus évidente : comment les médias peuvent-ils justifier d'avoir consacré autant de unes à un personnage qui ne s'est encore prononcé sur rien de concret ?

Et la Droite dans tout cela ?
Le père Fillon commence à comprendre que d'avoir laissé la Gauche continuer de phagocyter le pouvoir médiatique et la Justice pendant qu'il était au pouvoir, n'était pas forcément une bonne idée.
Aujourd'hui, la grenade lui pète à la figure, et d'une certaine façon, c'est pain béni. Car dans la dénonciation qui torpille sa campagne, il a sa part de responsabilité.
Il a raison de proclamer que de faire émarger bobonne n'est pas illégal. Les députés et sénateurs de tous bords sont pléthores à faire de même, qui avec leur époux/épouse, qui avec leurs enfants etc... 

Mais s'il a légalement raison, il a moralement tort. A fortiori s'il apparaît qu'en plus, bobonne n'en foutait pas une rame et que son poste d'assistante était fictif.
On peut considérer qu'à partir du moment où ces 500 000 euros sur huit ans qui sont tombés dans l'escarcelle du couple Fillon, viennent du budget autorisé, bobonne ne coûte rien de plus au contribuable que ce qui est légal. Si ce salaire avait été donné à un assistante/assistante anonyme, cela n'aurait pas prêté le flanc à la critique. D'autant moins s'il avait rémunéré un travail effectif.
Sauf que lorsqu'on s'avance en première ligne pour tenter de devenir président de la république et qu'on joue les chevaliers blancs de la politique, on ne peut pas se permettre de se conduire comme le petit député ou sénateur de l'ombre. Bref, comme le dit la sagesse populaire, quand on monte au sommet de l'arbre, il faut avoir le cul propre.

En revanche, l'occasion est excellente de remettre en cause le montant de ce budget autorisé pour les parlementaires. Car il semble bien que Fillon ait pu se passer des services d'une vraie assistante, sans que cela ait nuit à son exercice. On peut supposer donc qu'on pourrait diminuer drastiquement le montant de ces libéralités accordées aux parlementaires sans pénaliser pour autant leur travail. Voilà une piste d'économie à creuser, non ?

C'est au hasard d'un scandale comme le « Pénélopegate » qu'on prend conscience du puits sans fond des économies budgétaires qui peuvent être faites dans ce pays. Ça ne donne pas des idées, Marine ?


samedi 28 janvier 2017

Primaire de gauche et autres choses sans importance.



Ben Hamon, imam frondeur islamo-collabo.

Saucisson-Pinard doit-il l'avouer ? Il n'a regardé aucun débat de la primaire dite de l'Alliance Populaire.
Déjà, rien que le titre aurait suffit, pour sa démagogie affichée, à le faire fuir.
Et puis la perspective de voir ces sept nains exposer leur « programme présidentiel » n'était pas franchement emballante. Parce que, si on y réfléchit bien, on avait affaire à deux catégories d'individus. La première était constituée de péquins connus pour avoir à peu près tout foiré de ce qu'ils avaient touché : les Valls, Montebourg, Hamon..
La seconde catégorie concernait des péquins également connus, mais le vulgum pecus serait bien en mal de dire connus pour quoi. Disons qu'ils ont fréquenté les médias, mais sans jamais n'avoir rien fichu de vraiment concret.
Donc les Bennhamias et Rugy n'avaient pas grand chose pour attirer les foules, reconnaissons-le. Et puis franchement, sans tomber dans le délit de sale gueule, vous voyiez Bennhamias en président de la république, vous ? Non, sérieux ! A part être une publicité vivante pour réclamer une meilleure couverture des soins dentaires par la sécurité sociale, qu'aurait pu vraiment apporter ce Bourvil du pauvre aux Français ? Vous diriez que Hollande Ouille a bien été élu, lui. C'est vrai. Mais est-on obligé de donner une validation à la loi des séries ?

Reste Pinel. Pas connue pour avoir foiré quelque chose, en tous cas pas officiellement, et pas connue pour autre chose non plus d'ailleurs. Bref, elle aurait pu être la seule motivation de Saucisson-Pinard pour regarder un des débats. Mais il ne l'a pas fait. Bon. Dont acte.

Cependant, Saucisson-Pinard a regardé de près les échos de ces débats, et franchement, il n'a pas le sentiment d'avoir raté grand chose. Pas même concernant la Pinel.

Ah si ! il restait aussi Payons. Bon, d'accord, « Peillon », si vous préférez. Quand il pense que ses impôts ont servi à financer le salaire et les frais de ce sinistre de la Rééducation Nationale, c'est l'orthographe « Payons » qui vient automatiquement à l'esprit de Saucisson-Pinard.
Mais là, Saucisson-Pinard demande une dispense médicale. Le mec lui donne des boutons rien qu'à le regarder. Et ça devient purulent rien qu'à l'entendre. Donc, pour la bonne conservation de son teint de rose, Saucisson-Pinard ne pouvait accorder la moindre attention à ce tordu dangereux qui prétend retirer aux parents le droit d'éduquer leurs propres enfants.

Avec le recul, Saucisson-Pinard se félicite donc d'avoir mieux utiliser son temps qu'à regarder pérorer ces nains qui, sans la moindre lucidité quant à leur pitoyable insuffisance, prétendent à l'investiture suprême.

Aujourd'hui, il reste deux guignols à départager. Voter pour le petit Caudillo qui a démontré sa dangerosité comme ministre de l'Intérieur et son incompétence comme premier ministre, revient à faire preuve d'un goût prononcé pour le masochisme.
Reste Hamon. Rien que de constater que le PS n'a pas d'autre alternative à proposer que Hamon comme candidat à la mission de président de la république, en dit long sur l'état de délabrement du parti. Et comme ces primaires avaient pour ambition de représenter la gauche au sens large du terme, on peut bien parler de délabrement de la gauche toute entière. Aucune personnalité d'envergure, aucune ayant de la hauteur de vue, de la prestance, du souffle. On dit que rien ne pousse à l'ombre des grands chênes, mais on chercherait en vain un grand chêne à gauche. Ou alors, avec Hollande Ouille, on en conclut que rien ne pousse non plus à l'ombre des glands ?

On peut juste reconnaître à Hamon une certaine cohérence dans son programme présidentiel. Hamon souhaite dépénaliser le cannabis. Et effectivement, il faut tirer vigoureusement sur la fumette pour adhérer au reste de son programme et le croire viable.
Ensuite, le petit diplômé en Histoire de l'Université de Bretagne Occidentale (tant qu'à faire, il aurait mieux fait de se dire autodidacte, ça claque mieux...) veut, avec le revenu universel, payer les gens à ne rien foutre. Là aussi il y a cohérence. Ce projet est conforme à sa propre carrière. Il a toujours tété aux mamelles de l'Etat ou à celles du parti socialiste. Bref, il n'a jamais vraiment bossé de sa vie. Et puis vouloir racler l'électorat des feignants, c'est une bonne alternative à l'électorat ouvrier perdu par la gauche depuis lulure.

Il veut plus d'immigration; Cohérence toujours. Nos immigrés n'ont aucune formation, n'apportent aucune valeur ajoutée et ont pour seule motivation de profiter de l'argent public : tout comme lui toute sa vie, finalement. Et en plus, plutôt sensibles à la démagogie, les immigrés votent à gauche.

Enfin, en pleine cohérence avec la gabegie naturelle qui est quasiment inscrite dans l'ADN socialiste, Hamon se sent autant concerné par les déficits et l'urgence à les résorber que les petites racailles de banlieue le sont par le cinéma d'art et d'essai.

Tout ceci n'a de toutes façons aucune espèce d'importance, puisque le champion de cette primaire d' « Alliance Populaire » sera tellement populaire qu'il dépassera difficilement les 8% au premier tour des présidentielles.
Ça n'aura fait, d'ici là, que vendre du papier, remplir du temps d'antenne... et des pages de blog !

samedi 21 janvier 2017

A la recherche de petits plaisirs.


Après le Brexit, l'élection de Trump, le retour au premier plan sur la scène internationale de la Russie de Poutine, la fermeture de la Hongrie aux migrants - ces quelques rares bonnes nouvelles de 2016 - on devient un peu plus exigeant pour 2017.

On ne va sûrement pas se contenter d'assister ici ou là à un enfarinage ou à une gifle distribuée au petit Caudillo, même si, par principe, on ne va non plus bouder ce genre de petit plaisir. On aurait juste souhaité que cette baffe soit plus vaillamment balancée, car il s'agissait là plutôt d'une petite tapette bien anodine. Si vraiment, à l'instar de nos merdias qui jouent les vierges offusquées, on veut parler de violence, on pourrait rappeler la répression ordonnée par ce même petit Caudillo ministre de l'Intérieur, à l'égard des Manifs pour Tous, qui a donné lieu au gazage au lacrymogène de jeunes et innocents bambins.
Comme l'a fait remarquer un auditeur de France Intox, avant de se voir brutalement coupé à l'antenne par un animateur zélé, il n'y a pas loin de quelques soixante six millions de Français qui auraient bien voulu flanquer cette tarte à ce petit excité candidat à la présidentielle.

Au sujet de cette présidentielle justement, un autre petit plaisir du moment est de regarder les sept nains du PS-PRG et écolo réunis, en panne d'audimat, à vouloir « débattre » pour savoir lequel a le plus de chances de se prendre une fessée monumentale au premier tour de cette élection. Ils font irrémédiablement penser à ces coureurs du Tour de France qui, faute d'avoir la moindre chance de figurer en bonne place, tente de gagner la cuillère de bois, en n'étant pas trop lents pour éviter la disqualification, mais pas trop rapides non plus, pour rester le bon dernier au classement officiel.

Nos merdias aussi nous font bien rire : notamment par la vénération qu'ils portent à ce candidat sans parti, sans programme et qui a pour seul bagage la co-responsabilité du bilan désastreux de la politique économique de Hollande Ouille, et pour seul actif une bonne gueule du gendre parfait. La perspective de voir, éventuellement, tous nos socialauds pur jus, devoir entre les deux tours, avaler leur rose emblématique, avec ses épines, afin de se rallier, faute de choix, à l'ex-banquier d'affaire de la Banque Rothschild, met du baume au cœur de Saucisson-Pinard. Il y aura de quoi faire se retourner Léon Blum dans sa tombe. Vous penserez peut-être, qu'après toutes les âneries faites et dites en son nom, cela le remettra juste à l'endroit...


Le départ d'Obama est aussi un excellent début pour cette nouvelle année. Fascinante Amérique qui, dans les années quatre-vingt, a su faire d'un acteur un excellent président, et a fait au début de ce XXIe siècle, d'un supposé président un excellent acteur. A voir le showman faire ses adieux lors d'une allocution à Chicago, en sortant un mouchoir (mais qui porte un mouchoir blanc en tissu dans sa poche de nos jours?) pour s'essuyer une larme à la lecture de son propre discours, on a vraiment eu envie de crier « Bravo !! Et un Oscar pour l'artiste, un !».
Voir nos télés tourner en boucle sur cette séquence si émouvante, avec l'attendrissement d'une ado boutonneuse pour Justin Bieber, achevait le ridicule de la situation. Vous direz à juste titre, que pendant ce temps-là, on évite d'évoquer qu'en deux mandats, Obama a fait autant de déficits que les quarante trois présidents américains cumulés  qui l'ont précédé! On évite aussi de trop s'interroger sur le fiasco de l'Obamacare. Ou encore de s'étendre sur le désastre qu'aura laissé sur le terrain sa politique étrangère. Tout bien pesé, on retrouve à sa sortie, la seule et principale qualité qu'avait Obama à son entrée à la Maison Blanche : le fait qu'il soit noir. Avec juste un peu plus de cheveux blancs.
Et il est légitime de se demander quelle aurait été l'attitude des merdias occidentaux bien-pensants si le bilan d'Obama avait été celui d'un Républicain blanc...

Autre bonne nouvelle à déguster comme un bonbon : L'hebdo Marianne est déclaré en cessation de paiement. Le donneur de leçon gauchiste sur papier glacé, plusieurs fois condamné pour diffamation, a bouffé le grenouille et pourrait bien cesser de s'afficher dans les kiosques comme le bien-pensant-qui-se-prend-pour-un-anti-pensée-unique alors qu'il en est un vecteur avéré. Cela ferait déjà un million cinq cent mille euros de subventions annuelles d'économisés pour le contribuable. A qui le tour ? Libération ? L'Obs ? Faites vos jeux !


Enfin, c'est un régal de voir nos ministres de la culture et de l'Education Nationale étaler leur inculture et leur orthographe d'illettrées. L'une parvient à faire cinq fautes sur quatre lignes manuscrites adressées à l'Ecole de Gendarmerie, l'autre une faute de conjugaison sur un tweet de deux lignes. Evidemment ça ne fait rire que parce qu'on sait que dans quatre mois, ces deux tocardes auront dégagé. 

A leur décharge, il faut reconnaître aussi qu'elles ne sont elles-mêmes, finalement, que les (sous-)produits de quarante ans d'une Education Nationale en pleine dérive. Aujourd'hui ces deux malfaçons sont elles-mêmes au pouvoir, et elles ont évidemment tendance à reproduire le modèle qui les a générées. Preuve en est cet abandon en classes primaires et collèges, du concept de complément d'objet direct au profit d'un pompeux « prédicat ».
Mais qu'est-ce qu'un prédicat ? Dans la phrase : « Belkacem dit des conneries », le sujet est « Belkacem », le verbe est «dit» et le complément d'objet est naturellement : « des conneries ». Trop compliqué apparemment pour nos têtes de moins en moins blondes et de plus en plus « diversifiées ». Donc, le Conseil Supérieur des Programmes de l'Education Nationale décrète qu'on n'enseignera plus désormais à nos élèves aux cervelles abruties de jeux vidéo que le « prédicat », qui comprend l'ensemble verbe + complément d'objet direct : « dit des conneries » est donc le prédicat. En bref, on tente d'appliquer à la grammaire le principe de la méthode globale qui a tant réussi à l'apprentissage de l'orthographe, comme chacun peut en juger à lire la prose de nos « élites » ministrables contemporaines et de tant d'autres...

Ce Conseil Supérieur des Programmes qui régit l'appauvrissement éducatif de vos enfants année après année depuis 68, est un de ces cacas que le socialisme au pouvoir dépose au gré de ses pérégrinations sur le trottoir de nos institutions.
Les plus optimistes prétendront que marcher dedans porte bonheur...