Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

mardi 7 avril 2015

LE dossier.




Saucisson-Pinard a croisé un article de presse qui lui a semblé de prime abord assez loufoque pour être un gag. Un hoax. Rigolo mais sans mériter plus d'attention que cela. Vous savez, ce genre d'idée gouvernementale qui, de par son excès, vous ferait dire : « non, quand même, ils n'oseraient pas ! » Et puis lui est revenu en tête la répartie de Michel Audiard : «  Les cons, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait ! »
Du coup, l'information véhiculée par cet article, pour n'en avoir pas été confirmée, en devient néanmoins carrément terrifiante. Aussi, Saucisson-Pinard vous la relaie sous toute réserve.

Il y aurait sur le bureau du petit Caudillo-aux-mâchoires-serrées un dossier. Le dossier.
Le dossier qui se voudrait être une première réponse au concept « d'apartheid social » que ce qui nous sert de premier ministre a laissé récemment en pâture aux journalopes bien en cour, toujours friands de formules creuses aussi longtemps qu'elles peuvent avoir une résonance suffisante pour trouver quelque écho dans leur crâne vide.

Le contenu de ce dossier, le voici. Il s'agirait d'une proposition émanant d'un député socialo du Cher tendance gauche forte, un dénommé Yann Galut, et d'une sénatrice écolo vert-pastèque/bleu-étoile de David, Esther Benbassa. La proposition défendue dans ce dossier est la suivante ; accrochez-vous, c'est du lourd :
Nos chers muzz, pratiquant comme chacun sait, une religion d'amour, de paix et surtout de tolérance, ne toléreraient plus d'habiter dans des communes rappelant un peu trop ostensiblement leur historique chrétien dans leur patronyme. Ils ressentiraient même comme une insulte d'être les résidents de villes ou villages portant comme étendard un nom de saint ou n'importe quelle allusion à notre histoire catholique commune.
D'où l'idée géniale de nos deux gauchiards de débaptiser les dites communes. Plus de Sainte Marie (de la mer ou d'ailleurs), plus de Saint-Jean, de Saint-Martin (en Ré ou d'ailleurs), plus de Saint-Quentin, plus de Mont-Saint-Michel, plus de Saint-Etienne, plus de Sainte-Colombe, plus de Pont-L'Abbé, plus de Saint-Nazaire (les syndicalistes de chantiers navals, il est vrai, ont donné les premiers coups) et plus de, vous pensez bien, Sainte-Croix... Trop anti-vivrensemblesque tout ça. (Et plus de Cinzano non plus, bien sûr, même avec modération...)


Cela permettrait, selon l'expression du rapport rédigé par nos deux cervelles dhimmis de « relaïciser en profondeur la République ».
Votre première réaction, Saucisson-Pinard l'imagine, est de penser : « impossible que ce dossier existe! »
En admettant qu'il soit néanmoins réel, on peut aussi considérer que ce dossier pourrait être classé sans suite par notre premier sinistre.
Mais.
Il y a un « Mais » à ne pas perdre de vue. Et même plusieurs.
A la question : se pourrait-il que des représentants du peuple (ou supposés tels), soient capables, ne serait-ce que pour faire parler d'eux, d'émettre une proposition aussi farfelue ? Quand on regarde dans le passé récent les délires proposés par certains d'entre eux, on est bien obligé d'admettre que : oui, c'est effectivement possible ! Et quand on constate que certains de ces délires ont trouvé une application, on se dit : ben oui, c'est foutrement possible !
Donc l'éventualité que le dossier contenant cette proposition puisse exister sur le coin du bureau du petit Caudillo est à prendre au sérieux.

Cela étant, direz-vous, il peut y avoir loin entre une proposition émise et sa mise en application.
Loin ? Si loin que ça ? Pas si sûr. Il suffit de considérer l'impasse économique dans laquelle se trouve le gouvernement et son besoin impérieux de faire diversion en occupant son temps de présence médiatique sur - outre les commémorations que notre Grand Commemorator enchaîne à tour de bras et auxquelles il consacre désormais la quasi-totalité de son temps- des mesures à portée purement sociale. On peut estimer alors que le petit Caudillo pourrait être tenté de prêter une oreille très attentive à cette proposition démente. D'autant qu'il s'agirait d'un geste qui trouverait vraisemblablement un accueil positif dans ce qui lui reste de socle électoral : les muzz. Après tout, clientèle populaire traditionnelle perdue pour perdue, autant faire le forcing en faveur des immigris de tous poils. Et puis cette mesure aurait une allure terriblement révolutionnaire, susceptible de séduire (enfin!), cette frange socialo parlementaire des frondeurs si rétive aux frétillements de ce gouvernement accusé de droitisme macronien... Bref, pour le petit Caudillo, de quoi redorer son blason « d'homme de gauche »...

Après tout, pendant la Convention, en 1793, la chasse avait déjà été faite aux dénominations qui n'étaient pas révolutionnairement correctes. Pendant une vingtaine d'années, jusqu'à ce que la Restauration mette fin à ce délire, plus de trois mille communes avaient changé de nom. C'est ainsi qu'avaient fleuri en France des villages perdant leur patronyme en Saint pour être baptisés (si on peut utiliser ce terme) sous des appellations république-compatibles comme "Sans-Culotte-en-Manche".
Vous imaginez Saint-Joseph-en-Manche rebaptisé en Valls-Siprend-Commun-Manche au nom du « vivrensemble » républicain ? Après tout, pourquoi pas, cela aurait au moins le mérite de la vérité historique...

Vous pensez aussi peut-être que jamais une telle mesure ne serait acceptée par les Français. Mais figurez-vous qu'un groupe intitulé « Laïcité et République Moderne » a pensé à tout. Il suggèrerait dans le rapport en question, que ce changement de nom de quelques 5 000 communes concernées devrait se faire en 2016, année libre de toute élection. Le calendrier, entre date de recensement des communes à noms « discriminants » et date de parution des nouveaux noms au Journal officiel, est précisé, au jour près.
En outre, il est dûment mentionné que cette mesure ne pourrait faire en aucun cas l'objet d'un recours consultatif du peuple pour la raison que « des référendums locaux, s'ils sont généralement des éléments de revitalisation de la démocratie, seraient ici inopportuns voire même néfastes, car ils libèreraient une parole réactionnaire qui ne saurait s'exprimer en dehors des édifices cultuels ».
Ce déni de démocratie parfaitement assumé est un autre indice qui laisse penser que cette information pourrait ne pas être un canular. Car il rappelle bigrement des épisodes récents de notre démocratie cuisinée façon socialo-umpéiste.

Considérons aussi le profil des deux gauchistes qui auraient commis ce dossier, les Galut et Benbassa. La consultation de leur CV politique sur Wikipedia laisse assez peu de doute sur leur potentiel de nuisance. On relèvera d'ailleurs, pour ce qui est de la sénatrice juive écolo, l'ironie de la situation : dénoncer la supposée provocation à l'égard des muzz, que représente un nom de commune rappelant un Saint chrétien, et s'appeler à titre personnel Benbassa, est assez fort de café. Saucisson-Pinard suggère que si Saint-Nom la Bretèche devait être débaptisée, Esther Benbassa abandonne également son patronyme bien trop empreint de juiverie et donc excessivement provocateur à l'égard des muzz, pour s'appeler..., on ne sait pas... Macheprot ? Esther Macheprot. Encore que Esther... On doit pouvoir trouver plus neutre...

Si l'existence de ce dossier devait s'avérer, et s'il devait voir dans un futur plus ou moins proche une application de son contenu, Saucisson-Pinard ose espérer que cela reviendrait pour nos socialos en panique totale, à jongler allègrement avec des torches allumées dans une poudrière. Et que ce dossier soit l'étincelle qui déclencherait enfin cette révolte qui couve, parmi les forces de bon sens de ce pays. Même au prix d'une guerre civile. Une fois les charlots qui ont osé écrire de telles propositions, mis hors jeu, il conviendrait, afin de satisfaire leur besoin de références historiques révolutionnaires auxquelles ils semblent tenir tant, qu'ils soient exécutés en place publique. On pourrait, Saucisson-Pinard suggère, juste aménager le mode d'exécution, à titre de mansuétude compréhensive. Et en choisir un plus en harmonie avec leur dhimmitude revendiquée : plutôt que la guillotine aux relents bien trop franchouillards, on pourrait proposer au Galut un égorgement sur l'échafaud et à la Benbassa une lapidation en règle.



Et si ce dossier n'était en fait qu'un fantasme, une coquecigrue, une pure invention médiatique « nauséabonde » et paranoïaque, eh bien, au moins aura-t-il donné le prétexte à Saucisson-Pinard d'un article appelant à la vigilance. Car, comme disait sa grand mère: « Méfie té, méfie té quand même ! »...

10 commentaires:

  1. "Saucisson-Pinard a croisé un article de presse..." : Il serait bon que vous citiez vos sources sinon votre article perd toute crédibilité et donc vous aussi ! Vos jeux de mots douteux "journalopes" et autres "petit Caudillo" tendent aussi à mettre par terre toues vos démonstrations qui ne sont pourtant pas toujours sans intérêt. C'est dommage, quel gâchis !

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    1. Pas de crédibilité, mots douteux, gâchis, moi à votre place, je passerais mon chemin! Pas vous?

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  2. c'est super cet article et pas impossible du tout vu le nombre de couillonnades qu'accumulent ces deux bien pensants
    je suis contre le changement de nom des communes a part walls Siprend commun manche bien sur
    par chez nous , en deux sèvres, ayant du rechercher la commune d'Argenton le château pour inscrire une petite a l'école , (je venais d'arriver et on m'avait indiqué en mairie le collège a Argenton le château)...j'ai erré dans le département a la recherche de cet Argenton le château dont chacun me parlait , mais rebaptisé Argenton les vallées , je ne trouvais pas la pancarte .
    As tout hasard je garde mes cailloux dans un seau ...cela peut servir !
    amicalement

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    1. Vallées, Château... Tomatoes, potatoes... Tant que c'est pas Argenton les Trois Mosquées...

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  3. Oh la vache dites donc, quel magistral article!
    Comme disaient les Ritals "se non e vero e ben trovato" mais je crois bien ces deux résidus de fausse-couche capables de déféquer un projet de cette nature. Comme vous j'en arriverais presque à le souhaiter, non seulement pour voir inaugurer " Valls Siprancommun Manche" mais aussi pour secouer sévèrement la majorité silencieuse pendant qu'elle est encore majoritaire...et puis on peut toujours rêver...
    Amitiés.

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  4. Si nos saints les dépriment, une seule solution, la remigration !
    Qui les retient ?
    Les muzz en muzzie et les dromadaires seront bien gardés.

    PS : je n'arrive plus à commenter chez vous !

    Carine

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    1. Ce qui les retient? Nos allocs, les qualités d'accueil, l'aveuglement et la connerie sans borne de nos gouvernants, la docilité et le zèle des collabos immigrationnistes... Il vous faut d'autres raisons? Ils ne partiront pas de leur plein gré, c'est certain. Trop à perdre. Il faudra donc de gentilles persuasions, du genre de celles qu'ils ne pourront pas refuser...
      J'ignore pourquoi vous ne pouvez pas commenter. D'autant plus désolé que vos commentaires sont toujours appréciés, Mouette.

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    2. les allocs cela va très loin dans la bonté pour certains , je me souviens que dans ma carrière j'ai vu partir au bled , au frais des alloc..".tout le couli la bès ", pour enterrer dans une terre plus digne que la notre un enfant du bled, heu un Français de Fwance, mort d'un coup de fusil pendant son travail de vente de" farine" dans les coins de porte ...Ils ont mené le deuil quarante jours là bas avec les subsides de notre chère très chère caisse d'allocations !
      ce dealer, car s'en était un, fut présenté par la presse locale comme un valeureux grand frère
      ils auraient bien tort de s'en aller , vous en connaissez des rats qui quittent le fromage tant qu'il reste quelque chose a grignoter ?

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    3. Oui vous avez remarqué? Les Arabes "français" vivent en France mais se font enterrer au bled... D'ailleurs, souvent les juifs font de même (voir les victimes de Mehra...) Et si les Arabes faisaient le contraire? Vivre au bled et enterrer en France; j'aurais rien contre...

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