Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

jeudi 2 août 2012

Chanson de Lili de Perret, revue et corrigée



On la trouvait plutôt jolie, Lili
Elle arrivait des Somalies, Lili
Dans un bateau plein d'émigrés
Qui venaient tous de leur plein gré
Chercher des allocs à Paris

Elle sait que les blancs sont nigauds, Lili
Et au pays des droits légaux, Lili
Pour être du côté du manche
Il vaut mieux être noire que blanche
Ça fait un sacré distingo !

Elle aimait tant la liberté, Lili
Elle rêvait de prospérité, Lili
Dans le vingtième arrondissement,
Ses frères lui apprirent en riant
Comment rançonner les culs blancs

Elle a fréquenté des pageots, Lili
Excellant dans les sales boulots, Lili
Elle fait le guet pour les voleurs
Dans la rue ses frères de couleur
Voyous détrousseurs ou dealers.

Quand on lui proposa l'collège, Lili
La fine mouche vit bien le piège, Lili
Elle trouvait ça très amusant
Mais elle allait perdre ses clients...
Et avec eux beaucoup d'argent !

Elle aima un beau blond frisé, Lili
Qui était tout prêt à l'épouser, Lili
Mais sa propre tribu lui dit : "Nous
N' sommes pas racistes pour deux sous,
Mais on (ne) veut pas de blancs chez nous..."

Elle est devenue sidaïque, Lili
Sa race étant très prolifique, Lili
Elle se mit à pondre tant de chiars
La France ne la laissant pas choir
De la Sécu, fût l'désespoir.

Mais dans un meeting socialiste, Lili
Elle vit des immigrationistes, Lili
Qui lui dirent "Viens, ma petite soeur,
En s'unissant, c'est le bonheur
D'multiplier les quémandeurs."

Et c'est pour aider ces leaders, Lili
Qu'elle lève aussi un poing rageur, Lili
Au milieu de tous ces gugusses
Qui foutent le feu aux autobus
Au nom d'une société black-beur.

Mais un jour les vrais citoyens, Lili
Finiront par te dire, viens, Lili
Prendre le bateau faire un tour
En Somalie, fin de parcours
Revoir tes frères somaliens.

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